vendredi 18 avril 2008

Le cri d'un poisson pour l'eau propre.

Vous irez tous pourrir au paradis! Sauf eux!
Pour les belles dents d'une femme en "elle".
Pour la douceur de leur souplesse,
Ainsi glissaient les mains avec soins
de bas en haut descendant jusqu'aux reins
Mesquins étaient les arbes morts
naissant de poussière, mourrant de leurs cendres,
Les feuilles fumaient calmement cachées par le vent,
Les troncs criaient comme des vantouses.
Calomnie arrachées de la sève coulante
Tout était vrai sur la voie tranquille.
Dans un sens ou dans l'autres, les murs étaient déserts,
désservis par la pluie ruisselante au travers.
Sur la jettée de mes mots, l'amour s'écoule.
Fureur de vivre accordée au verbe moudre,
Entravées par l'eau sale et sodiumisé,
Mon esprit fumant s'est mis à secher.
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J'ai pas commencé ce que je dois rendre d'ici quelques heures....
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Dans un aquarium et manquant d'air, s'agitant dans tout les sens, l'autoroute et ses traits, la vieillesses des écailles, l'envie s'ennuyait, jamais ne sortait l'éclat blanc des vêtements lavés dans l'aquarium.
Son maitre ne manquait pas d'air, il s'étouffait à trop manger, la paresse d'un canapé, les écrans éteints illuminant les prairies broutés. Le sang éjaculait sur des coup de maitres, toiles aux voix suaves, aux collines bien vertes. Les secrets dans les tombes des vieillards bien coiffés, les coupes rouges de thé s'échauffaient les poignets. Le mal était sportif, l'endurance ne tenait, attachés sur des stores, ils baissaient les volets.

était dans l'étouffement le bruit inchangé d'une locomotive délabrée, un nouveau départ vers wherever.


http://entreslashetpoint.blogspot.com

vendredi 11 avril 2008

Sentiments.

"Je veux mourir d'une overdose de sentiments!" répétais-je à chaque nouvelle rencontre. Je confirme mon souhait! C'est ma seule mort possible! Point.


Encore une fois, nous parlerons ici d'une forme de pseudo débilité futile, ressentis subjectifs peut être mal interprétés, lors de situations clichés à souhaits qui se révèlent être vécus de manière moins niaises. Sans référence aucune, je vais ici m'étendre sur un départ révélateur.





Elle est dans ce TGV. Je ne sais plus quelle quai, mais au niveau C. Voiture 5. Elle m'embrasse et monte en me lachant progressivement la main. On y voit rien à l'intérieur. Les vitres affichent une foule de gens qui se précipitent vers je ne sais où avec leurs bagages, passant à travers un gars en chapeau. Des ombres. De pâles copies de la réalité. Déboussolé, je ne comprend pas, je ne comprend plus. Je suis triste, profondément triste. Les tours d'Euralille me tourne autour, non, c'est moi qui tourne au centre. La ville est belle, le train se prépare à quitter le quai sans dire au revoir. Que dois je faire ? Porter un livre à la fac ? Partir ne m'est pas permis ? Non tu ne te l'es pas permis tu as tout dépensé. Sauf que c'est pas pour ça que t'as une boule au ventre qui grandi petit à petit... Ah bon ? Et Donc pour quelle raison... ah non... pas possible... Je la laisse aller sur Paris sans moi... Non... C'est ça qui me rend mal? Peut être oui. Attends...

Non. Tout s'éclaire. Montant précipitamment les escaliers métallique menant à ma passerelle préférée, observant son train en partance, je sais, je sais, je le sais! Les discussions hasardeuses ne l'étaient peut être pas. Et moi je reste main dans les poches, attendant qu'elles se remplissent un peu... De quoi ? j'en sais absolument rien mais y'a rien à attendre de ses poches, y'a même pas de papillon à l'intérieur. Mon malaise se justifie. Entre ces joues rougies par le froid, innocentes, sous ses yeux bleu clignant un peu. Dans son regard, l'indomptable veut être rassurée, confiante de ce qu'elle veut, mais pas d'elle même, son nez qu'elle trouve tordu que j'embrasse sans demander, juste parce que c'est naz de dire qu'il est beau son nez. Son sourire qui s'ouvre lentement, ses lèvres au subtile gout de passion, que je ne demande qu'à gouter puis dévorer.
Ses complexes complexés quelques instant et elle le sait. Une écharpe blanche, fine, allure de grande dame, "parisienne" me dit elle, quand je vois de l'assurance, du style, du charme. Elle ne me croit pas, je ne la croit pas sur cela. Elle déteste la scène de nue de Brigitte Bardot dans Le Mépris, sans se rendre compte qu'elle en fait un remake à sa façon. Magnifiques paires. Retour à la gare. Non son regard tout près du mien, ses yeux bleu louchant un peu sur les miens, trop près, mes mains sur ses joues, son regard de petite fille jouant les grandes dames. Tu me manque déjà. 3jours. Oui. Juste 3jours. Et alors ? c'est pas ça qui importe. Elle voyage sans moi!!! PARIS ! Voyons! Non j'avoue j'ai du mal à supporter l'éloignement. Je ne peux pas être là pour elle ? Non plus que ça.
Retour à la gare. le train s'en va. Mince. Descente sur le quai...


Trop tard. pas de connerie sur le quai... ç'aurait été mal fait... ça fait mal. Oui. La voir emmener par cet espèce de lombric en ferraille, l'avare, ne pas pouvoir l'accompagner jusqu'à la gare, rien que ça. Moi en donquichotte. J'ai pas de cheval, pas de lance. il va trop vite. Je suis mouliné par son bel anglais. Merde qu'est ce qu'il m'arrive... rentre chez toi et va dormir... Le cœur qui s'emballe, des grands bruits de cymbales, un furieux élan de vie... et...

Non en fait t'es juste heureux de le ressentir. tu te te sens vivre. Je me sens vivre. Oui. Alors en fait, ce que je prenais pour une banalité ressemble à ça... Je préfère les choses comme ça...

(arrêter d'essayer d'expliquer ce que je n'arrive pas à exprimer...)

(Téléphone =) ... )

jeudi 10 avril 2008

???



Attendez là? C'est moi ou mon blog reprend petit à petit... ?

C'est une évidence !

Moi.


Moi.


Moi.


Moi...


Impardonnable je suis. Je ne daigne même pas raconter MA Belle vie. Le fait qu'en ce moment tout est incroyable, que le monde pétille autant que des milliards de tonnes de bouteilles de Champomy, oui, parce que je suis un petit gamin, un bambino narquois, en costume et en chapeau, peur de l'inconnu tout en y foutant les pieds en plein dedans. Quand les bouteilles sont alcoolisés, car forcement nous restons des petits adultes responsables, c'est le bouchon qui pète, un feu d'artifice, crac boum tralala, des couleurs plein ton ciel, au volant d'une décapotable ( forcement rouge dans les pensées) en pleine nuit, à fond les ballons, allongés sur la banquette, pieds sur le volant, le reste n'en vaut pas la peine. Tu ira là où le feu d'artifice t'aura mené, et c'est comme ça!

Parfois baignant dans des classiques, non, dans des grands mouvements classiques, puis ensuite se noyant dans des solo de guitares ou saxophones. On s'enlace, on se paume, on aime ça, on le repousse, c'est foutrement bizarre pour qu'on assume encore complètement.

Les rêves cassés sont là pour mieux reprendre.

Et Elle ? J'ai pas parlé d'Elle ? En êtes vous sûr? Ouvrez les yeux bon sang! j'ai pas les images pour tout vous traduire et vous plonger dans la facilité non plus!

Il était minuit trente sept.

J'aurais très bien pu vous raconter ma journée d'aujourd'hui, aussi particulière qu'elle soit. J'aurai pu, oui, j'aurai pu. Mais non. J'ai rien à raconter. Je n'ai plus rien à dire. De toute manière je fais trop de faute pour pouvoir en parler, je suis juste bon à fermer ma gueule pour éviter de m'exprimer à coté de ce que je cherche à exprimer. J'ai aucun style, aucune logique dans mes propos. J'aurais pu resté niais. J'aurai pu rester réaliste. Non. C'est à l'opposé en une fraction de seconde sans comprendre pourquoi. Dany Brillant me reprend La Belle vie. Non. Tout ça est trop bizarre. Réveilles toi je serai là pour toi. Un frisson, ceux d'angoisse, parce que l'opposé est loin de toute logique. J'avoue. Des palmiers, des feuilles flasques, des nuances de verts à n'en plus finir, des goutes de pluie qui coulent doucement sur ces grosses feuilles qu'on croirait grasse sans savoir ce qu'elles sont vraiment. Des plantes trop exotiques, effrayantes, certainement venimeuse, qui s'enroulent sur des kilomètre de Liane. On arrête l'aventure pour ce soir, quelqu'un s'est cassé la gueule. Un ordre qui ne veut rien dire, des propos ou je pourrai user ma salive. Mais non. Même pas. Un sol mou, boueux. Toi, lecteur, tu me suis, tu t'enfonces, tu m'enfonces, je t'enfonce. Tu sens le froid sur ta joue ? Tu sens que tu ne ressens plus certaines parties de toi? Tu es dans un désert glacial. Fauve lâché en plein Antarctique, désert nocturne sous un soleil fracassant, éclatant de vérité. Il se réfléchie partout, sur la glace. C'est la nuit, oui. Tu es seul. très seul. Personne ne viendra te dévorer. Personne ne viendra te secourir. Marche, avance, t'as toute la nuit devant toi. Marche, fais toi mal, tu verra que dans le meilleur des cas, tu n'en garde que le mauvais.

free music




Débile moi ? Non. C'est toi! Pourquoi tu viens lire mes conneries ? Non sens. Peut être. Bah Oui. Bah non. Bah surement que peut être.



mardi 8 avril 2008

Il semblerait...




...Apparemment, Je suis un Flan...









vendredi 4 avril 2008

"Je vous chie à la pulpe."

Un article qui sort de nul part, parce qu'en ce moment nul part c'est ici.


Orange verte


Poussé par la paresse à se bouger le cul une fois pour toute, j'ai récemment participé à un marathon du court métrage en 48H sur Lille. L'inscription était de 15euro, l'équipe était une équipe de pote sans aucun moyen ou autre connaissance en technique cinématographique. Dispute à propos d'un scénario, entre la contrefaçon de personnalité, celle de médicament, l'apparition de steven seagal contre un zombie, et un fond social touchant. cela dura jusque 6H du matin, me laissa une heure de sommeil avant d'organiser la fête pour mon frère, et chercher mes lunettes. Heureusement que les gens sont fêtards et généreux!

Presque impossible de tourner pendant la fête, désaccords sur le scénario, deux séquences de tournées, Steven Fourmi ( parce que ce n'est pas la Seagal) Contre un Zombie et un Dealer.
Du lendemain, stress, quelques heures seulement pour faire un film. Je n'avais pas vraiment dormi de la nuit, j'étais préoccupé à faire beaucoup plus valeureux : lui parler. Gwen et Arthur chez moi Dimanche aprèm, on tourne des séquence à l'arrache, on enregistre la musique en une fois après le film assemblé et monté. Pire on aime le résultat. Il ne manquait qu'à graver. Bien sûr la technologie nous facilite les choses, plus de 2H de tentative d'encodage et gravage DVD de foiré... Tout autre format nous met hors compétition. Un appel à Carlos qui parle avec un organisateur nous disant que le DV peut être diffusé. On perd pas de temps, mettre le film sur DV nous prend 5mn17 . Nous fonçons à l'Hybride avec et grâce à François. On remet la cassette. Pas de problème. On regarde les premières productions des autres groupes ( il y'en avait 19, nous étions le 10ème) qui ne nous laissent pas une si bonne impression que ça...
1H plus tard, " On a pas les cables pour passer le DV...) Bien, avec François je fonce pour chercher le materiel nécessaire chez moi, sous la pluie, le stress, dans les rues à chercher où nous avions garé la voiture, en passant devant Faidherbe, y'avait du scotch noir élastique partout dans la maison, j'avais pas compris ce que mon père avait foutu mais qu'importe, j'étais plein de scotch que j'avais traversé héroïquement avec les cables DV et ma camera...

Nous retournons là bas. Pas de problème, la diffusion sera possible. Nous attendons de voir notre film de branleur projeté devant les 150/200 personnes présentes! On aurait vraiment "kiffé". Mais problème. Il manque un câble, le mec de la régie va le chercher juste avant les délibération...
Bien, pause juste avant les délibération, nous sommes le seul film non diffusé, pourtant y'en a eu des belles merde de 5mn sans sens... J'installe ma caméra dans l'urgence avec le mec de la régie. On fait des test avec le vidéoprojecteur et la table de mixage son. On a pas le son à droite, pas grave, projetons le film!!!
C'est bon, tout est calé, il suffit d'appuyer sur lecture, le speaker se pointe pour annoncer notre film je pense, non, il parle de délibération, les prix sont donnés, la soirée est finit, au revoir, à l'année prochaine...
Arthur, François, Carlos et moi sur le cul, ne comprenant pas... Le film ne sera pas projeté... Ce temps à rien? 15euro dans le vent? C'est presque ça oui...

Je poste quand même le "fruit" de notre travail ici...

Ni fait Ni à contrefaire.

Cette vidéo maudite n'a pas été modifiée depuis le soir du dimanche 30/03/08 et devait être projetée dans la version présentée ci dessous.
Il faut savoir que nous avions dépensé 15euro pour l'inscription, que le thème donné était "la contrefaçon" (assez difficile entre les autres susceptible de sortir, comme le duel; le rêve américain; les affranchis; vitesse et précipitation; trou noir..) et que l'association organisatrice du marathon était " L'orange verte" .
Bonne visio.






mercredi 19 mars 2008

Consensuel.


CRAQUER

mardi 18 mars 2008

:|


J'avais cette chose en tête. Cette boule au ventre. Ce mal-être, un néant d'ivresse... Qui partait de quoi d'ailleurs ?



Le raz le bol n'existe pas, ni le vase, ni la goutte d'eau qui en déborde, pas de métaphore à deux balles, juste un dépassement injustifié.
Rien est parfait, et c'est parfait comme ça.
Ce qui se cache sous nos yeux, qui nous semble être ailleurs. Abrutissement automate, sous les pas militaire d'une dictature du cœur. Bouchons y les artères, nous semblons volontaires. Rien, non rien de tout ça ne prend. Pas de "toi", pas de "moi", mais au fond un "nous", et l'orange bleue. Pas de jeu de mot à éplucher.
Aux vues parisiennes, aux envies embrasantes, pour que brule, de mille feu, une rage de vivre, que beaucoup n'accepterons jamais, par jalousie de ne pouvoir ressentir une vie.
Un briquet. Tu es un briquet. Un briquet magique, un briqué spécial. Pas de contes, pas de fées, juste une imagerie délicate qu'on m'empêche d'imager, parce que le monde m'en veut de vouloir t'allumer.

vendredi 14 mars 2008

[60!] Get a ride!


Somethin' stupid. Comme une putain de douche froide. Aujourd'hui j'ai couru -non, je me suis enfui, pour une projection de Morden Love... Bref passons...

Me voici encore à commencer un de ces articles super long qui n'aboutissent une fois de plus à trois pattes de canard à casser.


Faculté d'étudier.




Beaucoup meurent de faims, c'est sûr, on en parle pas assez. D'autres accumulent les petits boulots pour s'en sortir au minimum demandé. Certain même ne bossent pas, mais travaillent dur pour s'assurer un avenir. Moi, je ne fais rien... J'ai mes partiels, et comme dans mon groupe de 54 étudiants en cinéma, je vais parfois en cours. Il se retrouve que nous dépassons les dix étudiants simultanément dans un cours! Mais jamais encore nous ne sommes tombés en dessous de deux pour le moment... Bien ? Mal ? Manichéens à la con! On prétend avoir un certain art de vivre en fac, mais dans le fond, il nous dérange tous. On ose pas se l'avouer voilà tout. Comme toujours vous vous mettez à bosser quand il le faut VRAIMENT, et pas autrement. Un verre par ci, le deuxième par là, la blague débile, les prises de notes à l'arrache, se lever à 8h30 quand on commence à 8h30 et se pointer à 13h00 avec la tête dans le cul. Lire, lire à n'en plus finir, tout ce qui n'a absolument rien à voir avec les études en cours. Se la jouer, se la donner un peu, sur des sujets à droites, à gauches, toujours vagues, jamais maitrisés, mais en savoir plus que d'autres.
Et bien sûr le fléau du siècle, avoir tous les moyens de communication possible sous la main, et ne jamais essayé d'y foutre les pieds, ou alors, impossible de s'y enfoncer vraiment, chaque outils, ou autre objet trainant dans nos poches, toujours là pour nous déconcentrer, nous faire penser à autre choses de, parait il, beaucoup plus important, nécessitant un maximum de concentration pour un maximum de plaisir et de satisfaction personnelle.
On s'étonne que les beuveries pourraient devenir quotidienne. Coincé entre un an de licence et un budget peu avantageux pour se motiver à réussir ses études. Pouvons nous vraiment affirmer qu'il suffirait juste de se " donner les moyens ? " Nous n'avons rien à recevoir de quiconque, du moins, rien de matériel. Qu'on nous fasse comprendre qu'une licence ne mène pas au chômage, que la musique et le cinéma ne sont pas des loisirs gras, ingrats, engraissant l'industrie des loisirs, juste par faux plaisir, et qu'en même temps derrière tout ça continuent les meilleurs trouvailles et évolution de l'espèce humaine.
étudier à son grès, pour jouir de ses connaissance et faire sa vie selon ses envies... Le problème est toujours le même. Personne ne vous laissera faire. Personne ne me laissera faire. Personne ne bougera, et j'en suis sûr, même pas moi. Pourquoi ? Parce que personne n'est encore prêt à ça. après tout, petit étudiants que nous sommes tous, que pouvons nous faire face à des gens matures, censés, expérimentés, d'une cinquantaine d'années? Mais si! Certain passent même leurs vacances à Euro Disney!

N'empêche que l'aventure Fac continue. Cinéma me voilà. Tu va souffrir mon pauvre commercial...




Crise du logement


Papa et maman déménagent à 10mn de voiture, et forcement moi aussi... Maison de mon enfance je te quitte sans même pouvoir te dire au revoir... ou pas... Ma chambre, mon cocon ( pas de foutage de gueule avoir un chez soit où l'on se sent plus ou moins à l'aise se veut rare!), après près de 12 ans de fréquentation je te quitte. Du coup les grandes questions existentielles font un assaut exceptionnel : Que deviens tu l'an prochain ?

Quelque chose d'assez con et d'important. J'ai toujours mes enceintes 2x50w et 2x60w de branchées, ici du Led Zeppelin qui joue à 16 de volume. Quelque chose d'assez risqué pour une approche à 23H. Pourtant je peux me le permettre. ça me rend à l'aise. Mes posters partout, mon coté gnian-gnian, mes livres en bordels, mes dvd n'en parlons pas, mon lit à proximité d'un pc à proximité d'une tv, à proximité d'une xbox transformée en lecteur Divx. Personne pour vous dire " Tagueule " quand tu joue de la guitare en chantant doucement devant ton miroir, parfois à poil ou en pyjama pourri après quelques saloperies mangées ou bues en cachette.

Là bas, maison plus grande, certes, mais chambres plus petites, aux murs en cartons... A quoi ressemblerons mes nuits à 2h de route à pied du centre ville de Lille, alors qu'ici je mettais à peine 30mn pour rentrer chez moi complètement peter à 5H du matin...
Ne pas pouvoir marcher, parler, faire de le moindre bruit, couinement, rire, conversation téléphonique, peur d'être entendue, d'être engueulé, de provoquer des crises, de faire jouir les tensions familiales, les disputes, les sautes d'humeurs assez bidons dans leur fond... Le spleen continuel d'untel ou d'untel quand il n'y a pas lieu d'être, et tout ça, peut être, rien qu'à cause de moi, juste parce que chez moi, je cherche à me faire un nid douillé où s'évacueraient mœurs et idées. Non en fait je dérange juste par acte de présence, tout comme eux. Cohabitation et épanouissement n'ont jamais pû s'entrevoir. Autant passer son chemin, faire une cible ailleurs...

Pas de bourse. Quel malheureux je fais. Pitoyable. Mais même l'envie de voyager se retrouver cassées, par des responsabilités inexistantes, des bureaucrates qui ont pour seules fonction que de vous maintenir au pays parce que personne n'a encore compris qu'une frontière n'a aujourd'hui plus lieu d'être entre les hommes... ou pas...
J'ai compris aujourd'hui qu'il était peut être inévitable qu'on en vienne à jour à avoir une putain de crise de colère et de s'auto détruire en emportant tout le monde avec soit, juste parce que notre héritage nous en a donné les moyens... Pas grave si vous ne voyez pas de quoi je parle.
l'État ne changera rien à mon état d'esprit...



'Cause you're so great and I love you


Je suis amoureux.
Cette phrase est parfaite et en développer plus serait la souiller.



mardi 4 mars 2008

Out of time.


Et à ce moment précis...

Tout objet se contredit.
Les visages s'écartèrent.
Les phrases s'envolèrent.
Les larmes trop lourdes tombèrent.
Sous l'éphèmerité d' un effet mérité.
Qui s'en allant de droite et gauche,
aux torrents pluvieux,
des abimes arrachés aux cernes maladroites.
Un semblant d'esprit sur une rose des neiges
Prises par le vent dans un futur associable
Un maladroit tracés d'un accès partagés
Aux ombres abyssales des vérités refoulées.

Sans pour autant médire autant me maudire
La simplicité des choses a rendu compliqué
Ces fautes de patiences
Prédateur des reptiles
Au sang froid
Chaudes larmes de crocodile
et le chasseur larme à la main
l'arme à l'oeil
Victime de soit
Bêtement sauvage
Incapable de décaper sa propre bleusaille.

Oeil crevé par les restes du féroce avorton
emmêlé de poussiéreux tuyaux d'arrosage
cordon médicale d'idée malade
Accomplissement
Accomplissement
Sincérité
Cœur alarmé.
Coeurs mal armés.
Tous disjonctés
Tous disjoint
Mais un jouissant d'un charabia vitale
Comestible mais indéniablement indigérable
Par toute personne gérable
au commun des mortels
les dieux répondant
que oui ils le faut pour les biens du moment.

Et demain les milliers de ciels étoilés aux milliers d'étoiles
multiplication vertigineuse du haut de celles ci
Les questions des petits matins et des grands soir
Robe de soirée et tenue de chambre.
Déchet échéant j'aime ton arrogance.
Déchet abimé je t'ai arrosé.

Enfumé d'un liquide brulant
Consumant le mal être par une tige de vie,
Ecoutant la pluie et observant le bruit des nuages rapides
Penser à quoi.
Penser à moi.




Blur - Out of time (Think Tank -piste 2)


Where's the love song?
To set us free
Too many people down
Everything turning the wrong way around
And I don't know what love will be
But if we start dreaming now
Lord knows we'll never leave the clouds

And you've been so busy lately
that you haven't found the time
To open up your mind
And watch the world spinning gently out of time


Feel the sunshine on your face
It's in a computer now
Gone are the future, way out in space

And you've been so busy lately
that you haven't found the time
To open up your mind
And watch the world spinning gently out of time

And you've been so busy lately
that you haven't found the time
To open up your mind
And watch the world spinning gently out of time


Tell me I'm not dreaming but are we out of time?
(We're) out of time

Out of time
Out of time
Out of time
Out of time





mercredi 20 février 2008

06h06

Il était 06h06

mardi 19 février 2008

Le titre importe peu.

Votre estomac s'emmêle, même si ça ne le regarde pas. Pas un marin à l'horizon mais toujours la menace d'un nœud coulant. Plusieurs matin déjà qu'appuyer sur l'interrupteur ne change rien. L'ampoule est cassée. Pas de brume le matin, juste la sombre idée des stores baissés laissant passer un intense rayon lumineux vers je ne sais quel objet sacré censé m'aider pour une quête particulière que je n'arrive plus à imaginer, je ne prend pas la peine de regarder, je ne suis plus un geek. La bouche pâteuse, les yeux gluants, les membres engourdis est-il nécessaire de parler de l'odeur?- surement pas, peut être parce que le réveil est en panne depuis quelques matin. Mais ce n'est pas la seule panne. Y'a aussi la boite à penser, à réfléchir, la boite à rêve, etc... Déjà le concept de la boite à quelque chose prouve la panne en elle même, les pensées, réflexions, et rêves entravés. Un néant créatif, un néant d'émotion. Ne pas ressentir grand chose parce qu'on s'oblige à ne pas ressentir de peine. Est ce ma faute ou la leur? Les deux certainement. La mienne parce que j'ai découvert Jacques Brel, la leur parce que je suis qu'un égoïste. Non, je ne suis pas déprimé, ou alors faut demander à Brel. Je ne suis pas vide, sauf si celui ci prend un sens plein. Je suis juste en vacance et en état d'âme transitoire avant pas mal de changement. Quoi c'est ça le réponse ? C'est y réfléchir et pondre ça comme ça ? Est ce que ça explique pourquoi j'ai le mal du téléphone ? Les longues conversations aux fesses londoniennes ou photo de gare, c'est normal... Mais je ne me lasserai pas de sa voix. -Oui, c'est ma faute de t'aimer.- mais où est elle? Elle arrive...

"Et puis y'a Frida qu'est belle comme un soleil, et qui m'aime pareil que moi j'aime Frida... Les autres ils disent comme ça qu'elle est trop belle pour moi, que je suis juste bon à égorger les chats, j'ai jamais tuer de chat."

C'est juste parce que ça passait. Combien de fois j'ai pu le recopier ? On s'en fou.
Attendre un essaimess juste parce qu'il est bon d'être affiché chez l'autre, pour le petit effet que ça fait à celui qui envoie, en écrire un pour donner le même effet à celui qui reçoit, la boucle se boucle, le circuit est tracé, mais la course ne prendra jamais fin car celle ci est affamée.

Envie de film à la con, où ça pète partout, de l'étalon italien au gouvernator en passant par McLane. Et en même temps me faire tous les Truffaud, commencer les Guitry, finir les Bresson...
Mais ne rien pouvoir faire de tout celà pour le moment.

On me demande cet après midi de mettre en vente ma maison sur un blog... Ma chambre aussi donc...



dimanche 17 février 2008

Mode de vie et téléphone portable.

C'est certain. Avant les vacances de Juillet mes parents déménagerons dans une plus grande maison. J'aurai raté mon année et je serais passé à coté de 95% de mes projets de l'année. A force de reporter à après demain ce que j'aurais pu faire hier, à force de me dire que rien n'est de ma faute mais de ceux qui ne m'autorisent pas à avoir les outils nécessaires, je reste ce que j'étais, ce que je suis, larve qui voit la vie défiler à l'age où beaucoup avaient déjà démarrer leur vie. Lisez vous Rimbaud? J'avais encore sous les yeux il y'a quelques heures certains de ses poèmes écrits à 17ans. Oui je sais, Rimbaud était Rimbaud, mais tout de même... 100 projets avortés contre peut être 2 de réussis... ça commence à être lourd... Tout cela ne tiens pourtant qu'à moi... ou pas...

L'an prochain, c'est donc certains, c'est (pas) loin d'ici que je ferais ma vie. Je sais. Deuxième année que je le dis. Je sais. J'ai toujours pas de boulot. Je sais. Je ne sais toujours pas ce que je ferais l'an prochain. Vous les savez très bien, des résultats j'en ai encore aucun. Le seul résultat c'est la bouteille de vodka qui se vide peu à peu dans ma chambre, et la collection naissante de livre sur mon étagère improvisée un peu au dessus de mon lit (D'ailleur ce matin encore, je me suis débrouillé pour qu'il me tombent tous dessus à mon reveil..).

Mais c'est de SA faute, Elle m'a posé un livre dans les mains. Et tout continue de changer silencieusement, petit à petit. La frustration du téléphone portable devient différente. Parler sans savoir de quoi on parle vraiment parce qu'il n'y a ni les yeux, ni les mains, ni la candeur d'un corps, pas de paysages à traverser, inspirés, insolites, avec ou sans lumières. Un faux réel, un vrai virtuel, ou l'inverse. Les rêves imaginés, les mots importants, perdent de leur valeur et en gagnent en même temps. Parce qu'on ne peut qu'aimer ça, qu'on n'arrive plus à faire autrement. Parce que nous sommes une génération qui aime se torturer juste pour le plaisir d'avoir mal. "Masochistes de nous!" . Parce que tout ça devient grave, que ma seule envie c'est de la revoir, et que c'est une scène de retrouvaille sortie de l'imaginaire qui donne du coeur à la tâche...
Quelle tâche?... Huh... " Girl, you really got me now..."

jeudi 14 février 2008





Ce sont sous les sens amputés et faussés, que se faufilent les idées des désirs dissimulés. Tomber de haut sans se faire mal et se laisser emporter par un courant d'air frais, puis sentir des étendues d'eau salée impossible à matérialiser, sauf quand elles sont arrosées. Sensation pathétique d'être soit même glissant sous les serpents métalliques dont chaque goute de venin apporte la rage d'une tristesse sans fond en même temps qu'elle nous lave. Celui ci m'extrait toutes mes crasses de la manière la plus futile et la plus troublante, à genoux, allongés, devant mes faibles idées. Il me semble qu'on appelle ce bruit un sanglot.
Dehors il ne pleuvait pas.

Puis frappent à la porte Lamartine et Aragon. On se salut tous aussi surpris que les autres, et l'on réfléchit ailleurs, là où Elle trouve les bons vers et les bons mots.

Mais moi...?
Quand je serais grand je voudrais être Fermier, pour cultiver et semer!
...Ok, je repars...

mercredi 13 février 2008

Enervé

Au synthétique hasardeux.

Juste parce que les articles qui n'ont pas lieu d'être c'est Enervé!
Let's go! To enjoy a full night of music.

En espérant que le vide de sens donne un sens au vide!


samedi 9 février 2008

Trois nuits que j'essaie de me mater Blood First (à comprendre Rambo I) en entier. Rien à faire, je m'endors toujours moins de 15mn après avoir caler le passage à reprendre.
J'ai du mal à m'exprimer face au vécu, ou plutot à ce qui se vit... Oui sinon je commencerais pas mon article en parlant de Rambo? non? Si. Bien sûr que si!


Que voulez vous. Tout change à nouveau. à quel point ?

Ben o'Folk est le nouveau batteur de The Nominals!
Je commence à lire des livres...
Je commence à aimer lire des livres...
J'écoute de la musique sur un iPod quotidiennement
Je retourne souvent à Faidherbe...
J'ai des cours à la fac!
Je fais du rangement dans ma chambre.
Je déménage bientôt... Ma maison est presque vendue...
Je vais donc chercher un vrai "chez-moi" l'an prochain...
Surement en coloc' , oui...
Je suis malade...
En plus de devenir fou...
Mais ça c'est à cause d'Elle.
Elle apporte toutes ces choses nouvelles avec Elle...
J'ai des notions d'islandais du coup...
J'en dirais pas plus...

Je n'en dis pas plus, même s'il y'a énormément à dire. Cet article ne sert peut être à rien, ou alors à laisser sous entendre les choses à exprimer. Je ne vous en dirai pas plus vil lecteur, presque vicieux de savoir ce que j'ai envie de vous raconter. ... Alors pourquoi vous êtes encore là dans ce cas ?

Article Non sens. Mais en amorce à d'autres choses à venir. Bientôt. Très bientot.


Je souhaite cependant rendre hommage à Guillaume Théry, ancien camarade de classe, mort le 2 février en Espagne par le pire de la bêtise humaine ...
Rest in peace mec...

mercredi 6 février 2008

Transitoire.


... Would you do something wild and unpredictible ? ...

A tous ces rêves plus réalistes que d'autres. On attend quoi en fait ?

vendredi 1 février 2008

Mais arrête!

Ce soir je suis sortie du 14ème étage, chambre 1408, expérience un peu moins traumatisante qu'Asterix, mais tout de même, et cela entre des écrits de More et Rimbaud.

C'est inévitable, l'endroit dans lequel j'ai aimé et souffert pendant ces 14 dernières années, je vais le quitter, et par conséquent, mon cocon constitué en 13ans va disparaitre. Beaucoup de questions donc, flottant dans le mal être de ne pas avoir pris le dernier train pour Londres. Qu'importe, tel un anti héros de western, je marche vers le soleil couchant dans un désert urbain. Oui. Peut être. c'est certainement une de mes conception de concept trop conceptuelle pour être conçu mais qu'importe, le fait est là : Nos villes sont les nouveaux déserts. Le fait qu'elle soit pleine les rend vide, et leur trop plein de bruit se transforme en long silence. Envie de quitter ce desert pour en voir un autre. Où d'autres choses. Oui. Connaitre d'autre chose. Je me plante, encore et encore, je le sais, je le sens, mais je continue quand même...

Après avoir eu envie de chanter du Polnareff, j'ai envie de chanter de l'Aznavour.
Alors Emmenezmoiauboutdelaterre,emmenezmoiaupaysdesmerveilles,
ilmesemblequelamisère,seraitmoinpénibleausoleil.
voilà.

Je sais, la misère chez moi n'existe pas. une preuve ? On voit des bandes d'annonce où Thierry Lhermite pleure parce qu'il est dépressif... Non oui mauvais exemple, mais l'idée est là. C'est complètement con, débile, mensongers, déconsidéré. et dans les 6 derniers mots avant la dernière virgule on peut lire "con" à trois reprises. tout ça est plutôt con à vrai dire.

J'ai envie de voir des chats faire du Morses. J'veux entendre des jeans qui parlent. Puis aussi je voudrais que... Ouai. Mais arrête!

Puis ... merde! F*ck it! reprenons le semestre.

Pomme de vie.

Mots émotifs.

Sentiments abimés et impossibles à exprimer, outre par quelques vers enrayés, s'obstinant à charger une inspiration néfaste, insolite et bancale.
J'aurais voulu savoir écrire comme je devrais savoir le faire.

...Mais dans ces nuits là, on ne peut pas...

...Mais improvisons quand même...

Des notes écorchés d'un chanteur populaire
S'assemble une mélopée aux tons patibulaires
Me rappelant ces nuits sombres de clairs lunaires
Où souvent je pleurais mes pensées éphémères

C'était à cause des femmes un peu trop elles-mêmes
Où alors ces amoureux oubliant qu'ils s'aiment
Peut être des oiseaux me chantant mon physique
Joyeux de me voir las de manière atypique

Il est maintenant le temps où j'envie ces poètes
Qui d'une aise élégante écrivent à tue tête
A propos de l'autre qu'ils aiment et qu'ils haïssent

J'irai une fois de plus me confier à ma Lune
Qui elle m'écoutera malgré toutes mes lacunes
En me dissuadant d'assouvir caprices..


.Je ne suis pas fait pour écrire.
.Mais qu'importe.


..
Inside my head
A storm from you
Is going ahead
To something new
..
I just wanna be with you
dancing right beside you
while all things around
turning in somehting wild
..
...to kiss you in the rain...
..


...Puis qu'importe...

jeudi 31 janvier 2008

Useless.

Inutile de nier que malgré tout, niveau moral c'est pas trop ça, et ce pour divers raisons. Questions sur l'avenir, sur le présent, sur soi même, sur les autres, et le train train habituel, mais dans des sujets plus délicats.
Il est aussi inutile de nier qu'Asterix 3 fait son petit effet... En effet, la séance la plus pénible de ma vie ne fait que m'encourager à faire du cinéma et a ressortir mes plus grandes ambitions... Des projets qui commencent à pointer le bout de leur nez, un zest d'inspiration et 3 séquences qui, même si pas forcement top, sortent d'un naturel presque effrayant. Oui, c'est carrément ça, c'est une muse mais elle ne peut pas le savoir.

Y'a tout un mélange qui relaisse un sale gout dans la bouche, la connerie humaine manichéenne, les chansons trop diffusées à la radio qui gâche le plaisir de les écouter, les gens qui vont pas bien et qui ne savent pas pourquoi, les autres qui viennent pas petites soirées.

Même le vent me blase. En temps normal je l'aime, hors justement, nous ne sommes pas en temps normal mais en pleine tempête et mon chapeau s'envole.

Et avoir une double subjectivité nous rapproche de l'objectivité. C'était la brève à méditer.

Pour finir, Pamplemousse, vacanciers du moment, voulait vous faire profiter d'une de ses photos de vacances... Enfin il le croyait. En effet il est passé de la prépa à la Fac pensant prendre des vacances, mais au final, ça s'avère plus fastidieux que prévu. Il a failli devenir communiste, resté au Flores café pour discuter, rater ses cours pour lire des bouquins sur les techniques du cinéma à la bibliothèque, puis il a failli s'endormir en prenant des notes au fond de l'amphi. Pauvre Pamplemousse! Par contre il aime pas mal les soirées étudiantes.. Mais, sa maman, Mathilde, lui manque beaucoup! Courage! Sacré Pamply!



Pamply au Flores Café


Pamply fait la fête chez Marion



Pamply qui nous fait rire
chez Marion




Pamply, fatigué s'endort en
amphi à coté de Marion



Pamply participe à une AG étudiante.



Pamply et un communiste



Pamply étudie à
la Bibliothèque Universitaire

lundi 28 janvier 2008

All things you are.

Ces deux dernières semaines, j'étais plongé dans mes partiels qui au final, si je puis dire, se révèleront certainement partiellement ratée. Je ne dormais pas la nuit, j'étais donc assez frustré, et fatigué, puis parfois je voyais cette fille qui me donnait tout le courage possible par le biais de quelques paroles, ou simplement du temps passer avec Elle, au cinéma, dans la rue... Des rêves, des écharpes, et j'en passe...

Vendredi marquait la fin des partiels, avec un sujet de sémiologie assez détestable, genre c'est la première fois que je sors d'une épreuve presque une heure avant la fin. Le cours de 13h30 marquait donc un retour à la normal des choses. J'étais désormais un étudiant en cinéma, avec un emploi du temps stable, qui pouvait assurer ses prises de notes sans stresser, et réfléchir à plein de futurs projets laissés de coté. Sauf que ce premier cours de Cinéma européen contemporain m'a laissé face à Requiem pour un massacre, film éprouvant sur les horreur de la deuxième guerre mondiale en Biélorussie qui me restera certainement une très grande influence pour certains projets crus... Mais qu'importe, même si j'étais bouleversé, que je m'étais retenu ( et c'est rare pour tout vous dire) de chialer pendant presque deux heures et demi tellement mes tripes se nouaient, j'étais pourtant bel et bien déterminé à me laisser aller pour de bon... Ce qui ne fut pas le cas, pour un meilleur résultat. Les fleuristes n'ont pas d'humour, au caf&diskaire on passait un live des Clash, puis direction Faidherbe pour retrouver Paul et Fred, puis Elle. Surprise... ou pas! Une visite improvisée de la face cachée de l'établissement, sous d'énormes nuages barbe à papa impossible à manger. Assis sur le macadam, à chercher des lucioles en compagnie des arbres sans feuilles, envieux et joueurs à la fois. Puis vers le terrain de sport, des échanges de signaux lumineux avec un gars probablement bourrés, d'autres curieux passant la tête, ne comprenant pas ce que peut bien être cette forte émanation de lumière à l'intérieur de leur prison. D'ailleurs leur prison est plutôt cool. J'adhère complètement au vol de peluche, d'oreillers, et aux douches qu'on prend habillés dans la salle de bain, mais à l'extérieur de la cabine de douche. Mais il y'a toujours Elle, voir sur le coup, il n'y avait qu'Elle. " Tant pis", j'abandonnais, ou plutôt, je m'abandonner légèrement. à quoi bon se retenir pour la seule raison d'avoir peur de faire des conneries lorsqu'on à vraiment envie de les faire. Ce sera un présent assez significatif. Je rentre chez moi trempé, et dans le froid. Mes écouteurs iPod ne s'en remettrons pas, ils n'aiment pas les douches froides apparemment.


Samedi. Je me réveille à 10H, j'ai une fête à préparer. Depuis quand j'attends cette fête? depuis pas mal de temps j'avoue. A vrai dire je devais l'inviter à danser. ça fait plaiz de bien parler avec Paul. Puis le reste je ne sais pas trop comment le raconter. Non. ça ne se raconte pas. Arthur enervémec qui danse comme un sauvage, soit comme un dieu, sur la piste de danse improvisée. Puis Elle. Et son envie folle, notre envie folle...

Peut être n'ai je pas l'envie d'en parler plus que ça pour le moment. Peut être que j'y met pas les mots. A kind of magic. Oui. Voilà. C'était magique de tourner, puis tourner encore, en se serrant l'un contre l'autre, s'embrassant au refrain... complètement indescriptible....

Et bon sang!!! Ne lisez vous pas les lignes d'un jeune homme n'osant pas dire qu'il est tombé amoureux?! Ne lisez vous pas la terrible gène de se dévoiler?! Savez vous lire entre les lignes ? Il faut toujours lire entre les lignes et comprendre pourquoi une phrase se doit de se tenir là, sous vos yeux. Du moins ce sera toujours comme ça avec moi... Il est clair que ça vaut la peine de ne pas essayer d'y mettre des mots.

Elle rêve de poser les pieds et de balader ses yeux sur une terre de glace à haute activité volcanique, de pluie et d'orage. Vous ne comprendrez pas. Je n'en dirais pas plus. Mais son prénom, c'est ...

lundi 21 janvier 2008

Randy - Time after time




Parce que c'est Randy quoi !

Quand Randy, frère de Earl a une peine de coeur,
Il chante Time after time de Cindy Lauper

(Ouai je fais des rimes idiotes et alors ?)

(Série : My name is Earl)

dimanche 20 janvier 2008

the 4:50 A.M. song


Et voilà, rattrapé par ces stupides mails matinaux....

!C'est pas ma faute!
...
...
.Pas une ligne ne sort.




Aujourd'hui à " Faches Thumesnil "

Matin 11°
Après midi 12°

levé 8h35
couché 17h27

Scorpion

Le Soleil entre en Verseau. C'est le moment de construire, de jeter les bases d'une nouvelle aventure, de fonder ou même de refonder une famille.

Toujours aussi kiffant l'horoscope du dimanche!

samedi 19 janvier 2008

L'acteur n'a pas besoin d'exagérer son expression. L'image en gros plan l'exagère.

Parce qu'il y'a des moment, on se demande pour de vrai si quelqu'un ne tire pas les ficèles d'un pantin, sous quelques principes vaudou, où la poupée en question symboliserai notre vie...
Oui! Enfin non - Non! Je ne parlais pas d'un dieu. D'ailleurs, vous savez la meilleure ? Dieu est une écharpe!

Métaphoriquement parlant.... Le non sens de cet article est justifié.

Tu

Vous n'est plus vous, vous êtes "tu".
Ta vie n'est qu'une pâte de fruit aux multiples saveurs alléchantes dégoulinante d'émotions. Tu trouve que c'est déjà beaucoup, mais dans le fond, tu n'a pas l'air d'aimer les fruits, alors...

Alors tu écoutes, tu lis, tu observe, tu ne dis jamais rien, mais tu n'en penses pas moins. Si les gens savaient tout ce que t'avais en tête ils s'en trouveraient tous terriblement effrayés par la complexité et la pertinence de tes pensées. Parce que tu te complique la vie, tu te découvre trop machiavélique alors t'essai même d'arrêter de penser de manière a stopper toutes ces conneries.

Résumons ta semaine. Tu viens de passer des examens vaseux, tu penses être un peu malade, ce sont tes coups de chaud, ta légère toux et tes paupières assez lourdes accompagnés de l'impression d'avoir les yeux qui sortent des orbites qui te le dises.

Tu te réveilles, tu es quelque peu fasciné par ton dernier rêve, très long, car c'était un assez long court métrage, entier. Les images dataient des années 50, en couleur. Ou alors une technique futuriste a permis de les vieillir. C'était comme si Hitchcock avait réalisé Bonnie and Clyde. Vous étiez deux, fous à liés, prêt à tout, agissant sans réfléchir, car les seules conséquences étaient l'enrichissement d'un puissant amour. Les crimes commis n'étaient pas des vols, mais juste d'avoir pensé, d'avoir rêver a des tableaux trop fabuleux. La police de la pensée vous poursuivait dans les rues d'une ville aux allures d'un San Francisco aux maisons aux couleurs vives, grossières et exagérées, ce qui en faisait en fait toute leur beauté... Au bout d'environ 2H, après une course poursuite endiablée, une portière laisse l'un de vous tomber sur la route. L'autre crie de toute ses forces. Des balles se perdent, d'autres transpercent. Les cœurs percés. La mort multicolore. Le réveil...

Tu cherche la voix de Thom Yorke, tu ne la trouve pas devant la glace, mais sur une chanson de Radiohead.

Tu désire oublier autant le mauvais que le très bon de ta semaine. Parce que, pardis, il le faut!
Tu entre dans ta salle de bain, et tu désire te faire une toilette complète accompagnée d'un fond de radio. Tu voulais être foudroyé sur place ces derniers temps, mais tu ne t'attendais pas à ce que ça arrive de manière métaphorique. La radio annonce les deux prochains titre : un morceau récent d'un certain L.K. , et l'Infidélité de Miossec. Tu te sens... Bizare... là tu bloque. Pourquoi ces deux chansons sont annoncées au moment même où tu allume ta radio... Tu regarde autour de toi, tu songe à la camera caché, comme toujours, d'ailleurs le sentiment se renforce à chaque fois que tu regarde The Truman Show. Personne. Tu t'inquiète. Tu flippe. Endo, tu regarde curieusement le poste de radio. Les premiers accords de la première chanson... Tu ne bouge plus tu n'ose rien faire. Juste écouter en te regardant dans la glace. Tu ne sais pas pourquoi tu flippe, mais MOI je sais pourquoi.
Qu'importe, tu décide de laisser couler, car tu t'apprête à prendre une douche, bouillante, comme tu les aimes....
Tu... Descends dans le salon, tu regarde un reportage sur des civils américains qui traquent les mexicains à la frontière... Tu... Délire... Vision nocture, fusil de chasse, guns "aisément maniable pour une femme", et j'en passe...


Tu... Tu... Tuez moi.


Je

J'hallucine. Je délire. J'ai pourtant rien inventé, mais j'en doute quand même. Nous connaissons tous le secret du Big Bang. Non? Alors moi si. Il ne s'explique que dans un certain ressenti. J'écris de la merde car inconsciemment je tourne autour d'un petit pot de confiture à la framboise genre celle qu'on te donne quand tu prends la formule petit dej' d'une aire d'autoroute un dimanche matin vers 7H30 près de la frontière suisse. Je dissimule, formule, déformule, me ment, leur ment, mais c'est mieux comme ça. L'oncle Ben disait qu'un grand pouvoir impliquait de grandes responsabilités. Mais je n'ai pas de grand pouvoir. C'est génial mais à n'y rien comprendre. C'est fou. C'est logique. C'est ma logique actuelle. Une bombe de mousse nettoyante antistatique pour écran mêlée à un chiffon jaune autour de boite à CD, un rouleau de sopalin à coté d'un gobelet rempli de ticket de caisse près d'un médiator à gauche d'un pc portable qui n'est pas à moi. Une écharpe. Cette écharpe symbolise. Elle symbolise notamment un moment improbable et des départ de scénario à la recherche d'une signification propre à un élément perturbateur... Elle. Elle me l'a filé et m'a tenue au chaud. Elle ne sait pas si je sais qu'elle ne sait pas que je sais tout comme je ne sais pas si elle sait que je ne sais pas qu'elle sait. Et qui sait comme cette phrase en perturbera plus d'un, elle porte pourtant tout son sens. Mais tu sors d'où ?. Je blog sans blaguer.
J'ouvre les yeux pour les fermer. J'effleure une main pour prendre un bras. Parce qu'il ne faut pas, et que je réagit comme ça. Parce que des séances de cinés on en trouve pas mal dans un cinéma mine de rien. Parce que... je comprends lorsque je feins de ne pas le faire. Parce que Je s'arrête là.


Je, Tu, Ils, l'explicite inexplicite

Parce que le contenu de ce blog se répète. Que pour l'instant les articles sont incapable de sortir clairement. Que je suis pressé d'être samedi prochain et de voir du monde, vraiment! Que la fac c'est vraiment pour les glandeurs, que des gens sont entrain de peter les plombs sans s'en rendre compte. Que ça c'est de la faute à Ils, même si je sais très bien qu'on dit que c'est la faute de Ils. Chaque mot, chaque ligne, est a prendre à différents degrés que vous ne chercherez certainement jamais, mais qu'importe. Cet article ne sert à rien d'autre qu'à nous distraire, qu'à nous poser des questions. Entre Aèdes, prophète fou, aliéné, et presse people. Parce qu'en plus de tout ça, comme si c'était pas assez stressant et frustrant, y'a des rêves, des paysages, de la musique, et des questions de météo.
Branchez les guitare, sortez le jack, les deux, puis l'ampli. Ils amèneront le miroir, le reste, et les yeux cernés.

C'est pas encore demain matin que j'oserai me parler franchement dans une glace....
I'll fuck up to the end, for sure.

C'était le dernier articles illisibles, poussés et fastidieux à cerner, pour le mois à venir en tout cas.

Experimentalement votre.
Fidèlement votre.
Castroment votre.


Un masque.

jeudi 17 janvier 2008

Wild horses couldnt drag me away

Si je n'ai rien à écrire... C'est parce que je dois faire extrêmement attention. à quoi donc ? à moi même. Déjà, la semaine dernière, j'ai décidé de m'attaquer violemment à mes cheveux, en les laissant 30mn avec une femme qui ne coiffe que sur un disque de Vita. ... Quoi ?!... Vous ne vous rendez pas compte à quel point c'est dangereux je crois... Elle avait bien un disque de Vita dans son salon de coiffure. Me voilà forcer à porter le chapeau presque constamment, mais d'un coté, je ne m'en plein pas, je ne pouvais plus le mettre avec mon hyperdéveloppement capillaire à l'arrière.

J'ai fais connaissance d'une personne qui me fascine, je dois l'avouer. De quelle manière ? Je serais peut être un crétin de répondre " je sais pas", mais j'ai pas envie de me mentir non plus. Je sais pas.

Des projets commencent à fuser par centaines, elles traversent des idées folles, naissantes de pensées obscures que beaucoup considèreraient comme agréables. Impossible, pas d'axiomes, mais toujours un beau bordel, un mélange des plus belles couleurs existantes, ou non existantes, avec d'autres substances paralysantes. On reste éternel spectateur du défilement de nos pensées brutes. Mais impossibles à transcrire, impossible à écrire. Et ça, c'est parce qu'il FAUT penser à autre chose malgré tout.

J'ai foiré mes deux premier partiel. Le premier, j'avais pas grand chose, le second, j'avais beaucoup trop de connaissance. Le seul que je risque de réussir est bien l'anglais. C'est pas une question de poisse, juste que j'ai jamais su rédiger quoi que ce soit de manière correcte, explicite, du moins rien d'académique. Il faudrait qu'un jour je me consacre à des cours de grammaire, d'orthographes, de conjugaison, et je ne sais quoi encore... Mais je souffre de mon manque de maitrise d'une langue telle qu'elle soit. Oui, je me suis toujours dit qu'un jour je serais sur Londres parlant couramment l'Anglais, voir presque parfaitement, parce que j'aurai appris entièrement la langue en vivant là bas. Laissez mes rêves tranquilles...
De toute façon on a vu Pete Doherty boire du jus d'orange, et sobre pendant un concert...

Je reste idéaliste, mais je commence à perdre espoir. Récemment, et je ne comprends toujours pas vraiment pourquoi, mais tous les débats politiques auxquelles je participe tournent autour de l'argent et du pouvoir. ça commence par une remarque sur l'argent, puis ça s'enchaine sur ma remarque quasi inévitable : " Mais l'argent reste une valeur fictive faite autour de matériaux rares, brillants, devenus aujourd'hui données binaires et bout de papier inflammable ( Ahhh Gainsbourg ) En vérité on pourrait tous vivre sans argent..." - Et là, c'est le drame.
" - VIVRE SANS ARGENT ? ET COMMENT TU FERAIS POUR MANGER ? ACHETER UNE MAISON ? VIVRE ? T ES COMPLÈTEMENT BARGE C EST MÊME PAS LA PEINE DE PARLER AVEC TOI!" . Achat... Mais puisque j'ai dis qu'on pourrait vivre sans argent. Suppression de l'argent, hop, il n'est plus question d'achat...

Rien à foutre, je m'écrase, tant pis, je vais parler à ma gratte et mon porte mine. On s'entend bien nous au moins. Personne ne comprend ma véritable ambition : Faire une trilogie sur les zombies! La valeur de l'argent une fois les sociétés tombées, annihilées par l'accumulation de leur propre déchet? On peut citer "Zombi" (1978) de George A. Romero où des survivants se terrent dans un centre commercial , "28 days later" de Danny Boyle où le héros sors d'un coma, visite une ville de Londres effroyablement vide, et ramasse les centaines de livres sterling qu'il trouve à terre pour les foutre dans un vieux sac plastic en compagnie de quelques canettes de soda. Mince, la reconstruction d'une société nouvelle etc... Un film serait trop court, une trilogie parfaite pour les projets que j'ai en tête... A chacun ses ambitions non? Mais y'a pas de soucis, derrière y'a aussi les plus énormes séries Z et séries B jamais réalisées, avec pas mal de potes, le groupe de funk trash psychedelic à renommé internationale, mais aussi les films les plus romantique de ma période d'activité... rien que ça. Béh oui, autant viser très loin, se laisser tirer au canon, et atterrir au plus près de la cible d'origine... Non? Comme vous le sentez... Contredis moi cher commentateur! Ose.

D'ailleurs parlons un peu de cinéma et dispositif. Un sujet récent m'interrogeait sur le fait d'interroger le cinéma dans une œuvre. Pourquoi je me plains de ma maitrise de la langue française ? Parce que tous ont dit que pour faire du cinéma, il fallait savoir écrire correctement ce qu'on aura à l'image. Je propose une autre approche, pas novatrice car très certainement déjà exécutée, similaire à des visions de la mise en scène de réalisateur comme Maurice Pialat par exemple (Je sais qu'il nous a traumatisé sur certains cours de ciné, mais qu'importe! Lisez!).
Prenez un décor naturel, et sa lumière naturelle. Prenons deux acteurs naturels. Prenons une situation naturelle, un truc banal, comme deux personnes commençant à s'aimer (exemple qui trotte pourtant dans ma tête depuis pas mal d'année. Je n'ai même pas d'excuse à présenter, je sors juste de l'adolescence!) Posons la situations aux acteurs : " Bien maintenant, vous vous aimez sans le savoir, ou pas." Ce sont des acteurs, pas de rire, pas de larme, que du jeu, leur jeu. Le plus important sera de substituer le meilleur de celui ci. Oublions les positions de caméra classique, ou plutôt, cherchons juste inspiration, et développons-en des mouvement qui nous sont propre, à nous et à la situation à fermer. Jouons sur le réel, la beauté du geste. Les regards sont à filmer, les lèvres, les mains, les corps, des gros plans, des demi ensemble, captons l'ignorance volontaire des acteurs par rapport à leur jeu. Manipulons de manière non explicite leurs actes et leur pensées. Capturons l'amour en lui même, et non pas un jeu sur l'amour. Capturons l'humain dont ce base le jeu, et non plus le jeu. Débrouillez vous au feeling, sur le terrain au montage, j'ai déjà ma technique en tête. Maintenant ajoutons une dose de lyrisme, ou plutôt dérivons du réel pour entrer peu à peu dans le fantasme. Bande de pervers, un fantasme est tout sauf sexuel! Le simple fait de dire ou d'entendre une certaines phrase peut être jubilatoire, et à partir du moment où elle peut l'être, elle peut aussi être un fantasme. Le fantasme, plaisir inaccessible... Pour le moment. Supposons un baiser... Laissons le être un fantasme frustrant le spectateur... Et merde "coupez...."

C'est pas la peine il est 2H du matin je suis en pyj, je viens de vider toute une bouteille d'eau et je m'intéresse à la filmographie de Kevin Smith depuis tout à l'heure! Laissons tomber,
Tout ça pour dire qu'au cinéma peut importe l'expression écrite dans le fond, l'écriture de l'image, sa capture est à faire sur le moment. Rajoutons les effets de lumières par la suite si nécessaire. Et si seulement c'est nécessaire. Cherchons la beauté d'un film dans la vrai beauté, non forcement esthétique, mais réaliste.

F*ck it! Je suis certainement un incompris et tant pis. RDV à la prochaine scène, au prochain partiel, ou à la revoyure!


lundi 14 janvier 2008

... Ou tu sais pas!...

... parce que c'est assez énorme de réussir à me faire écouter du Lenny Kravitz, je m'incline, tu es vraiment trop forte. Aussi parce que je ne trouve pas les mots pour... décrire... pourquoi je me dois vraiment de te remercier. Même si t'as pas insistée plus que ça pour que je me retrouve avec ton écharpe sur le cou...! Il faisait vraiment froid! C'est décidé je t'en veux! Merci. Merci à toi d'être toi. Merci à toi d'être là. Parce dans le fond, je crois que tu n'es pas la seule à avoir besoin d'évasion...


Enchanté =)!

Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher!

samedi 12 janvier 2008

Whos to blame ?

...Aux couleurs d'un midi d'hiver sous un ciel sans nuage...


Kit à haïr le reste, autant se haïr soit même.




à méditer...

-_-' F*ck it!

mercredi 9 janvier 2008

untitled

C'est après avoir mis 2H pour rentrer chez moi (merci Transpole) et après avoir écouter deux fois la Sonate pour piano n°14 de Beethoven, que je me suis demandé si j'avais pas des choses à dire, où plutot à écrire.
Ah peut être aussi y'a t'il le fait que j'ai une partie de ma fesse droite en photo sur un calendrier de la Jeunesse Communiste ? En tout cas, !ça! c'est vraiment la grande classe !


La faculté d'être en faculté.

La fac, c'est plutôt marrant mine de rien. Okay ça nous fou dans la merde, surtout quand on est en médiation culturelle, mais qu'importe. Tu veux aller en cours, avant ta salle, t'entends un concert dans le coin, alors forcement tu squatte. Ou aussi, tu débarques pour des infos pour tes partiels, et les prof ne te disent rien, où ils ne sont pas là. Mais le semestre est terminé, et ça tu ne le savais pas. Quand commencera le deuxième ? - pas de réponse de ton UFR.
D'autres ont pourtant un deuxième semestre et des cours... Mais en fait on s'en fou...

...Ou plutot je m'en fou. ça faisait deux mois que j'en glandais pas une, que j'allais dire bonjour à la vie, à babord et à tribord, tout prenant la flotte.... Et bien je savais pas qu'un cours de cinéma pouvait autant me remettre d'aplomb. Bon certes, ce n'est pas la seule chose qui le permet, mais pas la peine d'en dire plus.



Juste quelques pensées en vrac.


Les rencontres dans le métro.


Vous étiez assis, là, devant eux, à coté de lui, à coté d'elle, vous aidiez la jeune femme et sa poussette, mais vous ne l'aviez toujours pas vu. Elle. Cette personne venue s'assoir juste à coté de vous. Elle vous obsède, vous facine, elle sort un agenda, vous jettez des coup d'oeil furtifs alors qu'elle tourne délicatement ses pages. Elle ne vous regardera pas dans les yeux. C'est ce que vous vous disiez ? Pourtant elle vient juste de le faire! Et vous, vous venez juste de detourner le regard à l'opposé, comme si les autres personnes du métro vous interessez vraiment. Même en regardant le mec du coin qui se fourre presque les cinq doit dans le nez, vous pensez à la personne à coté de vous que vous n'osez plus regarder.

Le métro n'avançait plus. Vous venez de le remarquer, parce qu'à la fin de la chanson que vous écoutiez à l'instant, lors du fondu, vous n'aviez pas perçu un seul bruit de moteur...

Mince. Transpole fait une annonce. Bloqué pour 10mn. D'accord. Alors vous la regardez. Elle était à votre gauche, elle, la personne que, ce soir la, vous convoitiez peut être. Alors elle se retourne, une fois de plus, vers vos yeux, regard que vous detournez une fois de plus, presque naturellement. Pourquoi essayer de se montrer indifférent? Mais bande de crétin! Vous êtes tous de la même souche! Sur ce genre de sentiment là vous réagissez tous pareil! Ne posez plus de question, laissez vous aller.
C'est justement en posant des questions différente que vous vous laisserez aller. Naturellement vous vous demandez si elle joue elle même l'indifference. Allez savoir...
Vous essayez de faire dans le romantisme, mais vous n'y arrivez pas. Vous n'êtes pas romantique. Oui, c'est moi qui décide, car c'est moi qui l'écrit. VOUS n'êtes pas romantique. Alors vous laissez tomber, en repensant en fait à la personne qui vous fait vraiment tourner la tête... Est ce pareil chez El... non, on arrête ce genre de question.
Retournez chez les moutons : vous êtes tout un troupeau bloqué dans une rame de métro.
Un autre fondu dans vos oreillettes. Deux personnes, d'une trentaine d'année, du même style vestimentaire, compatissantes d'être bloquées et se moquant de Transpole très ouvertement, commencent à se faire la conversation. Ils rigolent bien ensemble... En face de vous, même chose, une grand mère geint, puis s'adresse au type qui se donnait un look intello, et qui n'arrêtait pas de vous fixez, sans que vous en ayez compris la raison....
Et si je me tournais vers elle? Et si j'arrêtrais les manières ordinaire, et si je la fixais du regard, je pourrais peut être tenter un petit sourire courtois... Oui. je la fixe. y'a plus qu'à attendre qu'elle me fixe. Je me prends pour un de ces pauvres héros de films sentimentaux, qui n'a pas demandé à être ce qu'il est, c'est à dire le fantasme d'un raconteur d'histoire. Il s'en prendra plein la gueule par la suite, tout comme moi si je continue à la fixer, mais qu'importe, en fin de compte, toutes ces histoires étaient belles dans le sens où plein de choses sont à ressentir. Même la mort et la tristesse y sont souvent belles. Alors fixe là, fixe là, elle aimera peut être ça... Et toi l'intello tourne toi! Je t'ai déjà griller plus d'une fois entrain de me fixer et je sais que tu le fait encore, laisse moi mon moment de gloire et regarde plutot la vieille à coté de toi s'il te plait, je deteste quand on me fixe comme ça je perds mes moyens.... Et "Elle" se retourne vers vous, vers vos yeux... Aaaah vous, nous, nous n'avons pas compris, mais vous avez détourné le regard... ESPECE D IDIOT! Et naturellement vos yeux vont vers l'intello qui vous fixait du regard! - Non, je ne l'insulterais pas, même pas pour vous.
C'est la particularité de ma narration. Je suis vous. Vous êtes moi. Nous sommes vivant et lachés dans un terrain de jeu similaire, et ce tous les jours.

Transpole vous annonce qu'il faut maintenant quitter la rame.
Vous vous levez... Elle se lève... mais en fait, ils se lèvent tous. Ils montent tous, vous sortez en dernier, elle sort juste après vous... Une autre annonce. Vous vous êtes arrêter, mais certainement après elle. Elle était derrière votre dos ( car devant celui ci, c'est moi!).

Plus tard. Les deux trentenaires sont maintenant amis. Ils rigolent bien ensemble. Vous attendez tous le bus relais censé vous amenez 2 arrêts plus loin.
Elle est toujours là, dans le vous, et vous sentez son regard vous suivre... mais quand vous vous tournez vers elle, elle détourne immédiatement. vous vous êtes regardez peut être une seconde au plus, yeux dans les yeux, à 30 mètre l'un de l'autre.
Tiens un fleuriste. J'aime les fleurs, et j'ai jamais compris pourquoi on avait jamais mis de "E" après le R de fleur, mais qu'il y'en avait un à Fleure, parce que c'est très jolie à écrire. De même, j'adore les roses, j'aime les offrir, et justement là, une rose à 1,50€ sous mes yeux...
Et si j'en prenais une, que j'arrivais sur elle, et que je lui sortais : Tenez, c'est pour vous. Acceptez le, c'est un gage de votre élegance. Si vous n'en voulez pas, je ne comprend pas pourquoi vous vous faites si jolie, même si votre élegance est sous sa forme la plus naturelle... mais je ne suis pas là pour parler... enfin si... mais ça me gène, j'aurai bien voulu vous abordez comme il se doit, mais j'avais aucune idée de comment.... STOP.
Vous, lecteur, vous commencez à penser trop fort. Je commence à penser un peu trop fort. Impossible de faire une telle chose dans le monde actuelle. Surtout pas à une inconnue. De toute manière, j'en avais pas envie, je l'ai juste envisagé, ce qui est totalement différent. J'ai toujours eu envie de le faire, certes, mais la/les personne(s) à qui je le ferai ( je risque de ne pas recommencer après l'avoir fait une fois, car j'aurai eu une putain de leçon je crois), aura(aurtont), un véritable traitement de faveur, et j'espère qu'elle le mériterons. Oui, vous pouvez ne pas être mérité par quelqu'un, et ce dans le mauvais sens. Mais restons optimistes. Arrêtons de parler d'amour si niais pour beaucoup.

Vous êtes maintenant dans la navette relais. Vous êtes debout. elle est venu s'installer sur un siège juste à coté de vous, alors que votre bus est carrement le bus le plus large dans lequel vous êtes déjà monté. Seulement d'autres personnes montent. Et vous la perdez de vue. Pour TOUJOURS. Qu'importe. Des choses de la sorte, vous en vivez toutes les semaines...



Les classes préparatoires.


Oui. Parce qu'en ce moment y'a pas mal de clampins qui retournent dans leur ancien lycée juste pour des élèvEs de classes préparatoires... Mais en fait je sais pas trop quoi en dire dessus. La premier couple de mots qui me vient est " acte délibéré". Ne pas chercher à comprendre.

Revisons nos partiels. C'est mieux.

The Big Red Button

Pour vous bande de Geek !



Put The Big Red Button on your site

lundi 7 janvier 2008

L'homme sans histoire


L'homme sans histoire
envoyé par CrazyNorse


Ne cherchez pas à comprendre pourquoi on trippe dessus....
(Musique de Nil Nozma)

dimanche 6 janvier 2008

Braque.


Mad1
envoyé par CrazyNorse


(Quand on a plus d'inspiration on se lache comme on le peut...)

Afflux d’apophtegme opulent

Shunt de dégaine intelligible

Soupçon spéculatif à alternance anthropophage

Émanations douloureuses de remugle irrévérencieux

Illusions triturées, contribuant à l’aspiration germante

Intégralement chiffrée de boutade fictive

Uniquement vers les liseurs tancés

Je ne réprime pas mon propre galimatias

Mais je l’admets divinement.



Pour railler le distingué

Bedonner le délassement

Fignoler ma virtuosité

Chauler mes incongruités

Et ce, de mon propre chef

Barbouiller ma labeur

De fanfare pragmatique

Amonceler les allures

Puis se complaire pour la veillée.


Et si vous ne l’estimez pas

Aboutissez à votre propre dardement !

vendredi 4 janvier 2008

Artistes locaux

Suite à une soirée bien sympatique hier, je fais un peu de pub pour les artiste vu aux Yeti, mais d'autres aussi. (Earl est en moi comme dirait l'autre! Karma! You're gotta love it!)

Je met juste les photos et myspaces, je commenterais plus tard, j'ai peu de temps. Allez faire un tour et voyez par vous même.














Ben'o Folk (mon influance ^^!)





Mais surtout là où ils se sont déjà tous produit!


Caf&diskaire
Concert gratuit tous les samedi vers 18H
(haha la pub!)

jeudi 3 janvier 2008

Pensées brutes.


Révisions ? Alors... Allons-y Allonzo...


Pour le WE :


Mouchette
(Bresson); Allemagne année zéro ( Rossellini), Bande à part (Godart), Belle de jour (Bunuel), Monika (Bergman), Les vacances de monsieur Hulot ( Tati), Playtime ( Tati), Mon oncle (Tati), Je vous salue Marie ( Godard), Rome ville ouverte ( Rosselini), Blow-up (Antonioni), Persona ( Bergman), Pickpocket ( Bresson), Un condamné a mort s'est echappé ( Bresson), The lady from Shanghaï ( Welles), Un chien andalou (Bunuel), Le mépris (Godard), A bout de souffle (Godart), Pierrot le fou ( Godard), Les oiseaux (Hitchcock), Vertigo ( Hitchcock), La mort aux trousses (Hitchcock), Alien Vs Predator Requiem (Strause), Alvin et les Chimpmunks (Hill), Hitman ( Gens) ...
Euh ouai...


2008 confusions.

C'était comment 2008 en 1978 ?
-Mieux.




Tout allait pour le mieux le 31 décembre. à 23h je me défonçais les tympan avec ma sono, je dansais comme un tarré. Le premier à 00h00 j'étais bourré, je reprennais quelques bières, à quoi bon se calmer, j'avais eu que 8H de sommeil cumulée lors des 3 dernière nuits..... à 1h00 j'ai racroché mon téléphone. 1h03mn, je rentre dans la maison... puis 3seconde après j'ai une putain de sensation de bien être... Qu'est ce que j'ai bien dormi... Rah puis quelle rêve merveilleux... Rah et j'suis sur un matelas c'est tout mou c'est tout confortable, jsuis bien... et la lumière du jour qui.. euh ? La Lumière du jour ??? Y'a 20s il fsait nuit et j'allais boire le Whisky Citron qu'on m'avait proposé... ah merde... okay... Qu'est ce qu'il s'est passé ? Mais qui sont ces gens autour de moi putain ? ils sont mort... Quelle heure il est ? - 8h30... merde... C'est à qui se duvé ? Bon je sors de la pièce, je vais bien voir... - Guillaume tu m'as roulé des pelles ; - Guillaume t'as dormi avec ta guitare; - Guillaume t'as fais la serpillère... J'arrête là. Jme souviens de rien, et j'ai peur de moi. Un mec bourré qui roule des pelle à tout le monde, ac l'halene et le fait qu'il tienne pas debout, ça me fait vraiment peur...

Message : (tel que je l'ai reçu) " (...) dormi avec toi jusque 6h30!" ... okay... O_o...
Heureusement qu'il restait de la vodka, sinon j'allais faire la gueule tout le matin en me questionnant trop.
Stop.


Putain de nouvel an à la con... >_<' j'ai la rage. J'avais besoin de me lacher mais pas à se point là. Retour à la maison, complètement torché, mort, impossible de penser, de bouger. N'oubliez pas que ces articles sont égoïstes. Je ne parle pas de tout le monde, des gens que je devrais ici citer, mais lisez moi : Je ne vous oublies pas!

2008... j'ai écouté the 19th Nervous Breakdown. Je crois bien que le mois de janvier sera pétage de cable. J'ai bien démarré pour, et continué dans cette voix. ça fait deux jours de suite que jsuis torché, que je ne sais pas quoi penser. J'ai des examens dans une semaine et demi et je n'ai encore rien préparé. Je ne suis pas démotivé, juste que j'essaie de pas y penser, mais je devrais, je sais. Paragraphe de culpabilité : Je sais, tout est ma faute, je suis une chose, une odeur, pas vraiment bonne, un adjectif minablement écrit, et lu sans son nom. Je ne dirais pas lequel, je ne suis pas sûr de le savoir. Je vagabonde dans les styles et les genres, je n'ai pas encore trouver de place. tout est à remettre en question.

Questions
Questions
Questions :

Qui suis je ?
Où suis je ?
Pourquoi suis je, et ici et pas là ?
Pourquoi ces questions à la con, trop basiques, qui ne veulent rien dire et qui sont juste là pour me distraire moi même et dériver sur une autre question ?
Pourquoi j'ai besoin de me rabaisser ?
Pourquoi je dois continuer dans cette voie ?
Pourquoi le pourquoi est certainement la questions la plus importante à se poser sur n'importe quel sujet ?
Pourquoi je passerai pas à d'autres questions ?
Est-ce que j'ai vraiment envie d'y mettre du miens ? - bien sûr que oui!
Est ce qu'il est bon de commencer à ranger les piles de vetements qui trainent sur ton fauteuil de main? - je crois que oui...
Pourquoi je suis si fatigué de rien foutre....?
Et les questions se transforment en affirmation, puis en liste.
Tu devrais vraiment t'alarmer.
Tu devrais vraiment arrêter de freiner en montée.
Tu devrais vraiment essayer d'en parler.
Tu n'es qu'un lache.
Tu n'es qu'un egoiste quand tu parles, Mais tu es excusable, avoir des conversation avec quelqun d'autre que toi te manque.
Tu devrais comprendre que t'es aussi fou que tu l'es, et que c'est bon de le sortir même si on te regarde bizarement.
Tu devrais comprendre que les lecteurs de ce blogs, interessés, ou moqueurs, ou glandeurs, en on rien a foutre de savoir comment tu vas.
Mais ça tombe bien parce que c'est pas vraiment ça que tu raconte ici , mais plutot un suivi de mode de reflexion moyennement débile, pour comprendre un état d'esprit hanteur.
Dormir un peu te ferai du bien.
Dire les choses franchement sans réfléchir, même les choses à ne pas dire, te ferai vraiment du bien pour le moment.
Mets toi à tes projets.
Apprends à lire!!!
Apprends à aimer!!!
Apprends toi!!!
Improvise!!!
N'apprends rien!

Y'a toujours de la contradiction partout. et écrire un article aux alentours de 4H du matin n'est jamais vraiment bon. La qualité des articles s'en ressentent, mais prenons un peu de temps pour y réfléchir. Qu'est ce que je veux vraiment exprimer ici ? Si j'écris un artcile à 4H du matin, et que celui ci ne veux rien dire, c'est que je dois être quelque peu confus. La confusion. Je me suis appris confus par moi même. Je suis troublé. Je suis... je suis... je suis fatigué...

2008 dans mes pensées n'est pas grand chose. Nous en sommes tous à une années en plus, et l'essentiel est de profiter de tout ce qu'il se passera. Surtout pour ceux qui sont avant leur 20ème année. Y'a des peur de ne pas avoir de temps. Ne pas avoir le temps de tout faire. La peur de ne pas avoir le temps d'avoir des surprises. La peur d'un climat constant. Depuis novembre, tout est si bizare. D'ailleurs c'est bizarre de faire toujours autnat de fautes d'orthographes et d'enlevé un r à bizarre.

Je vous envies.
Je vous envies.
Je me desteste. 2008 et moi on s'entend pas très bien pour le moment. Ironie? pas vraiment. Second degrès ? Comme toujours. Confustion totale.
Help me.
Save me.
Program Ending.
Si je pense maintenant à tous ces futurs voyages, à réaliser des rêves et des fantastmes, je risque de tomber de très haut... vraiment très haut...

Well, it seems to me that you have seen too much in too few years.
And though youve tried you just cant hide Your eyes are edged with tears.

You better stop
Look around
Here it comes, here it comes, here it comes, here it comes
Here comes your nine-teenth nervous breakdown.

Oh, whos to blame, that girls just insane.
Well nothing I do dont seem to work,
It only seems to make matters worse.
oh please.

Allez y! Comprenez moi ou pas! L'inspiration est toujours non inspriée.
J'ai absolument besoin d'une muse, mais j'en ai pas vraiment trouvé. Par contre des anti-muse pour le moment y'a que ça. Oui. L'anti-muse. C'est simple, c'est ce qui nous fait carement l'effet contraire d'une muse. On se pose des questions mais impossible d'écrire dessus car on bloque carement, on finit par secher, et essayer de se distraire pour voir si on pense pas à ces choses là autrement, ou carement à autre chose.
Bref, s'il vous plait. Je recherche une muse. une vrai. J'ai pas parler de femme, mais d'une muse. Si vous ne comprenez pas ce que je veux dire, aller chercher sur wikipedia ou réouvrez vos gros dictionnaires.
Et si vous trouvez ça vraiment niais, bien allez vous faire foutre =)!


RESOLUTION : ARRETER TOUT DE MEME D ECRIRE DES ARTICLES A 4H DU MATIN, ET EVITER LA REDONDANCE.


Le mot confus de la fin n'est même plus un mot, mais une idée à travers une image :