mercredi 28 novembre 2007

Souhaits Non Inspirants "J'm'inquiète pas pour votre avenir" Pourquoi Pourquoi Pas




Ne pas réussir à réécrire.
Un blocage constant, le besoin de faire des choses nouvelles, de passer à un autre style de vie.


Je m'y suis pas encore retrouvé entre l'esprit de fête constant, la fragilité des sentiments, les instincts de survie qui donnent envie de taper au premier danger, les chansons qui font boire et danser, celles qui font pleurer, les filles qui donnent à l'arc une symbolique phallique, et les brunes ténébreuses aux yeux noisettes avec qui on pourrait discuter des heures durant autour de verres en tout genre dans des paysages un peu improbables, parce qu'on aurait pris le dernier train pour trainer les pieds sur le sable en pleine nuit, sans hésiter, voir sans payer. J'ai débranché mon lecteur de rêve pour une semaine au profit d'une machine à abrutir.


Mais
je contrôle un personnage blond, gaucher, tout vêtu de vert, et la musique selon les scènes peut procurer une certaine dose d'adrénaline.


Je ne lit plus de bouquin.
Je bloque. Je m'y met trop tard, à cause des blocages. Je trouve toujours une activité à faire. J'emprunte des livre que je rend une semaine après la date de retour, sans les avoir lu. Je me décultive. Je ne vais que rarement au cinéma.


Cependant des musiques plaisent, des créations nous promettent elles même des choses plutôt bonne pour l'avenir.
J'ai aussi remarqué par hasard sur la toile, quelqu'un qui commence à faire carrière là où je souhaite faire carrière, tout en possédant le même nom que moi. Cette trouvaille improbable à l'air de donner naissance à une rencontre improbable. J'ai fais dernièrement la connaissance moins improbable, mais tout de même, d'une personne charmante. Mon dossier sur le cinéma fantastique qui n'avance toujours pas car à la place de penser à une bonne problématique je me demande juste pourquoi je me surprend à repenser souvent à cette personne, et si cela n'est pas dû à un genre de vie fantastique. Non j'arrête le délire ici.

N'étant rien d'autre que moi même, tout comme vous n'êtes que vous même, je continu à divaguer sans le faire, à paraitre complètement débile, et essayer de faire comprendre que je peut parler pour ne rien dire .
L'idée est très loin de là.
Les lignes sont plus puissantes que tous les autres assemblages de mots sous toutes leurs formes. Nous en sommes les responsables.

Mais pire.
En lisant Double meurtre rue de Morgue, Je m'endors. C'est pareil quand j'écris.
Bonne nuit.

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