Avant-gardisme irréfléchi Partie 4 (Toujours commencer par le 4!)

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-Qu'avez vous contre les hommes timides ?
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-Mais oui! Moi! Moi, Je suis timide!
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-Et bien avec vous j'suis timide !
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-Comme c'est intimidant...
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-Non. Je ne crois pas mademoiselle. Voyez vous, les hommes aussi sont sensibles. Peut être que beaucoup d'entre eux ne se dévoilent pas à vous, mais ils restent très sensibles.
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-Je ne suis pas d'accord. Sans sentiments, le sexe ne vaut rien.
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-Pensez bien, un homme peut peut être vous baiser, mais quand on y pense bien, sur ce fait, il s'enfonce! Emotionnelement bien entendu,, je n'ai rien contre vous, et eux non plus je suppose.
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-Vulgaire?! Moi vulgaire?! Vous ne devez pas connaitre les hommes tant que ça je supposes.
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-Permettez moi de ne pas être d'accord avec vous une fois de plus. S'il existait des hommes timides comme vous l'entendez, vous n'en n'aurai jamais vu. Je ne sais même pas moi même s'ils existent. Vous la savez vous ? Un homme timide ne se dévoilera pas à vous, mais continuera a faire le mariole qu'il n'est pas forcement, juste pour attirer votre attention, et vous obliger à faire parler de lui.
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-Il se pourrait que oui. Vous prendrez bien autre chose ? Moi aussi.
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-Je ne sais pas. Posez moi des questions!
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-Moi mademoiselle, je suis un déchet, quelqu'un qui n'a pas sa place dans un monde parfait.
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-Seriez vous timide vous aussi? Vous ne voulez pas jouer le jeu!
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-Mais bien sûr que si! Vous savez très bien de quel jeu je parle! N'hésitez pas, c'est bien celui là. Parlez moi de vous...
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-Comment voulez vous qu'un homme timide se dévoile à vous si vous l'intimidez ?
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-Mais bien sûr que oui vous les intimidez! Être une femme c'est quelque chose. Elles sont cruelles.
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-Oui je peux parler pour moi. J'ai toujours eu plus de souffrance que de plaisir avec les femmes.
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-Oh mais oui, j'y prend grand plaisir. J'avoue que ce genre de chose m'arrive très rarement.
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-Alors autant en profiter.
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-Pourquoi ne pas le faire ?
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-Vous êtes curieuse...
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-Merci. Mais j'aime beaucoup ça.
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-Non, au départ c'étaient vos yeux. Je pense en fait que l'on s'est très bien compris.
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-Alors je ne suis qu'un pauvre fou. Mais si je l'étais vraiment, auriez vous continuer à faire la conversation ?
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-Timide oui.
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-Malheureusement je pense que ce qu'il y'a vraiment à dire ne s'exprime pas avec mes mots.
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- Des projets ? Oui des montagnes...

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