jeudi 31 janvier 2008

Useless.

Inutile de nier que malgré tout, niveau moral c'est pas trop ça, et ce pour divers raisons. Questions sur l'avenir, sur le présent, sur soi même, sur les autres, et le train train habituel, mais dans des sujets plus délicats.
Il est aussi inutile de nier qu'Asterix 3 fait son petit effet... En effet, la séance la plus pénible de ma vie ne fait que m'encourager à faire du cinéma et a ressortir mes plus grandes ambitions... Des projets qui commencent à pointer le bout de leur nez, un zest d'inspiration et 3 séquences qui, même si pas forcement top, sortent d'un naturel presque effrayant. Oui, c'est carrément ça, c'est une muse mais elle ne peut pas le savoir.

Y'a tout un mélange qui relaisse un sale gout dans la bouche, la connerie humaine manichéenne, les chansons trop diffusées à la radio qui gâche le plaisir de les écouter, les gens qui vont pas bien et qui ne savent pas pourquoi, les autres qui viennent pas petites soirées.

Même le vent me blase. En temps normal je l'aime, hors justement, nous ne sommes pas en temps normal mais en pleine tempête et mon chapeau s'envole.

Et avoir une double subjectivité nous rapproche de l'objectivité. C'était la brève à méditer.

Pour finir, Pamplemousse, vacanciers du moment, voulait vous faire profiter d'une de ses photos de vacances... Enfin il le croyait. En effet il est passé de la prépa à la Fac pensant prendre des vacances, mais au final, ça s'avère plus fastidieux que prévu. Il a failli devenir communiste, resté au Flores café pour discuter, rater ses cours pour lire des bouquins sur les techniques du cinéma à la bibliothèque, puis il a failli s'endormir en prenant des notes au fond de l'amphi. Pauvre Pamplemousse! Par contre il aime pas mal les soirées étudiantes.. Mais, sa maman, Mathilde, lui manque beaucoup! Courage! Sacré Pamply!



Pamply au Flores Café


Pamply fait la fête chez Marion



Pamply qui nous fait rire
chez Marion




Pamply, fatigué s'endort en
amphi à coté de Marion



Pamply participe à une AG étudiante.



Pamply et un communiste



Pamply étudie à
la Bibliothèque Universitaire

lundi 28 janvier 2008

All things you are.

Ces deux dernières semaines, j'étais plongé dans mes partiels qui au final, si je puis dire, se révèleront certainement partiellement ratée. Je ne dormais pas la nuit, j'étais donc assez frustré, et fatigué, puis parfois je voyais cette fille qui me donnait tout le courage possible par le biais de quelques paroles, ou simplement du temps passer avec Elle, au cinéma, dans la rue... Des rêves, des écharpes, et j'en passe...

Vendredi marquait la fin des partiels, avec un sujet de sémiologie assez détestable, genre c'est la première fois que je sors d'une épreuve presque une heure avant la fin. Le cours de 13h30 marquait donc un retour à la normal des choses. J'étais désormais un étudiant en cinéma, avec un emploi du temps stable, qui pouvait assurer ses prises de notes sans stresser, et réfléchir à plein de futurs projets laissés de coté. Sauf que ce premier cours de Cinéma européen contemporain m'a laissé face à Requiem pour un massacre, film éprouvant sur les horreur de la deuxième guerre mondiale en Biélorussie qui me restera certainement une très grande influence pour certains projets crus... Mais qu'importe, même si j'étais bouleversé, que je m'étais retenu ( et c'est rare pour tout vous dire) de chialer pendant presque deux heures et demi tellement mes tripes se nouaient, j'étais pourtant bel et bien déterminé à me laisser aller pour de bon... Ce qui ne fut pas le cas, pour un meilleur résultat. Les fleuristes n'ont pas d'humour, au caf&diskaire on passait un live des Clash, puis direction Faidherbe pour retrouver Paul et Fred, puis Elle. Surprise... ou pas! Une visite improvisée de la face cachée de l'établissement, sous d'énormes nuages barbe à papa impossible à manger. Assis sur le macadam, à chercher des lucioles en compagnie des arbres sans feuilles, envieux et joueurs à la fois. Puis vers le terrain de sport, des échanges de signaux lumineux avec un gars probablement bourrés, d'autres curieux passant la tête, ne comprenant pas ce que peut bien être cette forte émanation de lumière à l'intérieur de leur prison. D'ailleurs leur prison est plutôt cool. J'adhère complètement au vol de peluche, d'oreillers, et aux douches qu'on prend habillés dans la salle de bain, mais à l'extérieur de la cabine de douche. Mais il y'a toujours Elle, voir sur le coup, il n'y avait qu'Elle. " Tant pis", j'abandonnais, ou plutôt, je m'abandonner légèrement. à quoi bon se retenir pour la seule raison d'avoir peur de faire des conneries lorsqu'on à vraiment envie de les faire. Ce sera un présent assez significatif. Je rentre chez moi trempé, et dans le froid. Mes écouteurs iPod ne s'en remettrons pas, ils n'aiment pas les douches froides apparemment.


Samedi. Je me réveille à 10H, j'ai une fête à préparer. Depuis quand j'attends cette fête? depuis pas mal de temps j'avoue. A vrai dire je devais l'inviter à danser. ça fait plaiz de bien parler avec Paul. Puis le reste je ne sais pas trop comment le raconter. Non. ça ne se raconte pas. Arthur enervémec qui danse comme un sauvage, soit comme un dieu, sur la piste de danse improvisée. Puis Elle. Et son envie folle, notre envie folle...

Peut être n'ai je pas l'envie d'en parler plus que ça pour le moment. Peut être que j'y met pas les mots. A kind of magic. Oui. Voilà. C'était magique de tourner, puis tourner encore, en se serrant l'un contre l'autre, s'embrassant au refrain... complètement indescriptible....

Et bon sang!!! Ne lisez vous pas les lignes d'un jeune homme n'osant pas dire qu'il est tombé amoureux?! Ne lisez vous pas la terrible gène de se dévoiler?! Savez vous lire entre les lignes ? Il faut toujours lire entre les lignes et comprendre pourquoi une phrase se doit de se tenir là, sous vos yeux. Du moins ce sera toujours comme ça avec moi... Il est clair que ça vaut la peine de ne pas essayer d'y mettre des mots.

Elle rêve de poser les pieds et de balader ses yeux sur une terre de glace à haute activité volcanique, de pluie et d'orage. Vous ne comprendrez pas. Je n'en dirais pas plus. Mais son prénom, c'est ...

lundi 21 janvier 2008

Randy - Time after time




Parce que c'est Randy quoi !

Quand Randy, frère de Earl a une peine de coeur,
Il chante Time after time de Cindy Lauper

(Ouai je fais des rimes idiotes et alors ?)

(Série : My name is Earl)

dimanche 20 janvier 2008

the 4:50 A.M. song


Et voilà, rattrapé par ces stupides mails matinaux....

!C'est pas ma faute!
...
...
.Pas une ligne ne sort.




Aujourd'hui à " Faches Thumesnil "

Matin 11°
Après midi 12°

levé 8h35
couché 17h27

Scorpion

Le Soleil entre en Verseau. C'est le moment de construire, de jeter les bases d'une nouvelle aventure, de fonder ou même de refonder une famille.

Toujours aussi kiffant l'horoscope du dimanche!

samedi 19 janvier 2008

L'acteur n'a pas besoin d'exagérer son expression. L'image en gros plan l'exagère.

Parce qu'il y'a des moment, on se demande pour de vrai si quelqu'un ne tire pas les ficèles d'un pantin, sous quelques principes vaudou, où la poupée en question symboliserai notre vie...
Oui! Enfin non - Non! Je ne parlais pas d'un dieu. D'ailleurs, vous savez la meilleure ? Dieu est une écharpe!

Métaphoriquement parlant.... Le non sens de cet article est justifié.

Tu

Vous n'est plus vous, vous êtes "tu".
Ta vie n'est qu'une pâte de fruit aux multiples saveurs alléchantes dégoulinante d'émotions. Tu trouve que c'est déjà beaucoup, mais dans le fond, tu n'a pas l'air d'aimer les fruits, alors...

Alors tu écoutes, tu lis, tu observe, tu ne dis jamais rien, mais tu n'en penses pas moins. Si les gens savaient tout ce que t'avais en tête ils s'en trouveraient tous terriblement effrayés par la complexité et la pertinence de tes pensées. Parce que tu te complique la vie, tu te découvre trop machiavélique alors t'essai même d'arrêter de penser de manière a stopper toutes ces conneries.

Résumons ta semaine. Tu viens de passer des examens vaseux, tu penses être un peu malade, ce sont tes coups de chaud, ta légère toux et tes paupières assez lourdes accompagnés de l'impression d'avoir les yeux qui sortent des orbites qui te le dises.

Tu te réveilles, tu es quelque peu fasciné par ton dernier rêve, très long, car c'était un assez long court métrage, entier. Les images dataient des années 50, en couleur. Ou alors une technique futuriste a permis de les vieillir. C'était comme si Hitchcock avait réalisé Bonnie and Clyde. Vous étiez deux, fous à liés, prêt à tout, agissant sans réfléchir, car les seules conséquences étaient l'enrichissement d'un puissant amour. Les crimes commis n'étaient pas des vols, mais juste d'avoir pensé, d'avoir rêver a des tableaux trop fabuleux. La police de la pensée vous poursuivait dans les rues d'une ville aux allures d'un San Francisco aux maisons aux couleurs vives, grossières et exagérées, ce qui en faisait en fait toute leur beauté... Au bout d'environ 2H, après une course poursuite endiablée, une portière laisse l'un de vous tomber sur la route. L'autre crie de toute ses forces. Des balles se perdent, d'autres transpercent. Les cœurs percés. La mort multicolore. Le réveil...

Tu cherche la voix de Thom Yorke, tu ne la trouve pas devant la glace, mais sur une chanson de Radiohead.

Tu désire oublier autant le mauvais que le très bon de ta semaine. Parce que, pardis, il le faut!
Tu entre dans ta salle de bain, et tu désire te faire une toilette complète accompagnée d'un fond de radio. Tu voulais être foudroyé sur place ces derniers temps, mais tu ne t'attendais pas à ce que ça arrive de manière métaphorique. La radio annonce les deux prochains titre : un morceau récent d'un certain L.K. , et l'Infidélité de Miossec. Tu te sens... Bizare... là tu bloque. Pourquoi ces deux chansons sont annoncées au moment même où tu allume ta radio... Tu regarde autour de toi, tu songe à la camera caché, comme toujours, d'ailleurs le sentiment se renforce à chaque fois que tu regarde The Truman Show. Personne. Tu t'inquiète. Tu flippe. Endo, tu regarde curieusement le poste de radio. Les premiers accords de la première chanson... Tu ne bouge plus tu n'ose rien faire. Juste écouter en te regardant dans la glace. Tu ne sais pas pourquoi tu flippe, mais MOI je sais pourquoi.
Qu'importe, tu décide de laisser couler, car tu t'apprête à prendre une douche, bouillante, comme tu les aimes....
Tu... Descends dans le salon, tu regarde un reportage sur des civils américains qui traquent les mexicains à la frontière... Tu... Délire... Vision nocture, fusil de chasse, guns "aisément maniable pour une femme", et j'en passe...


Tu... Tu... Tuez moi.


Je

J'hallucine. Je délire. J'ai pourtant rien inventé, mais j'en doute quand même. Nous connaissons tous le secret du Big Bang. Non? Alors moi si. Il ne s'explique que dans un certain ressenti. J'écris de la merde car inconsciemment je tourne autour d'un petit pot de confiture à la framboise genre celle qu'on te donne quand tu prends la formule petit dej' d'une aire d'autoroute un dimanche matin vers 7H30 près de la frontière suisse. Je dissimule, formule, déformule, me ment, leur ment, mais c'est mieux comme ça. L'oncle Ben disait qu'un grand pouvoir impliquait de grandes responsabilités. Mais je n'ai pas de grand pouvoir. C'est génial mais à n'y rien comprendre. C'est fou. C'est logique. C'est ma logique actuelle. Une bombe de mousse nettoyante antistatique pour écran mêlée à un chiffon jaune autour de boite à CD, un rouleau de sopalin à coté d'un gobelet rempli de ticket de caisse près d'un médiator à gauche d'un pc portable qui n'est pas à moi. Une écharpe. Cette écharpe symbolise. Elle symbolise notamment un moment improbable et des départ de scénario à la recherche d'une signification propre à un élément perturbateur... Elle. Elle me l'a filé et m'a tenue au chaud. Elle ne sait pas si je sais qu'elle ne sait pas que je sais tout comme je ne sais pas si elle sait que je ne sais pas qu'elle sait. Et qui sait comme cette phrase en perturbera plus d'un, elle porte pourtant tout son sens. Mais tu sors d'où ?. Je blog sans blaguer.
J'ouvre les yeux pour les fermer. J'effleure une main pour prendre un bras. Parce qu'il ne faut pas, et que je réagit comme ça. Parce que des séances de cinés on en trouve pas mal dans un cinéma mine de rien. Parce que... je comprends lorsque je feins de ne pas le faire. Parce que Je s'arrête là.


Je, Tu, Ils, l'explicite inexplicite

Parce que le contenu de ce blog se répète. Que pour l'instant les articles sont incapable de sortir clairement. Que je suis pressé d'être samedi prochain et de voir du monde, vraiment! Que la fac c'est vraiment pour les glandeurs, que des gens sont entrain de peter les plombs sans s'en rendre compte. Que ça c'est de la faute à Ils, même si je sais très bien qu'on dit que c'est la faute de Ils. Chaque mot, chaque ligne, est a prendre à différents degrés que vous ne chercherez certainement jamais, mais qu'importe. Cet article ne sert à rien d'autre qu'à nous distraire, qu'à nous poser des questions. Entre Aèdes, prophète fou, aliéné, et presse people. Parce qu'en plus de tout ça, comme si c'était pas assez stressant et frustrant, y'a des rêves, des paysages, de la musique, et des questions de météo.
Branchez les guitare, sortez le jack, les deux, puis l'ampli. Ils amèneront le miroir, le reste, et les yeux cernés.

C'est pas encore demain matin que j'oserai me parler franchement dans une glace....
I'll fuck up to the end, for sure.

C'était le dernier articles illisibles, poussés et fastidieux à cerner, pour le mois à venir en tout cas.

Experimentalement votre.
Fidèlement votre.
Castroment votre.


Un masque.

jeudi 17 janvier 2008

Wild horses couldnt drag me away

Si je n'ai rien à écrire... C'est parce que je dois faire extrêmement attention. à quoi donc ? à moi même. Déjà, la semaine dernière, j'ai décidé de m'attaquer violemment à mes cheveux, en les laissant 30mn avec une femme qui ne coiffe que sur un disque de Vita. ... Quoi ?!... Vous ne vous rendez pas compte à quel point c'est dangereux je crois... Elle avait bien un disque de Vita dans son salon de coiffure. Me voilà forcer à porter le chapeau presque constamment, mais d'un coté, je ne m'en plein pas, je ne pouvais plus le mettre avec mon hyperdéveloppement capillaire à l'arrière.

J'ai fais connaissance d'une personne qui me fascine, je dois l'avouer. De quelle manière ? Je serais peut être un crétin de répondre " je sais pas", mais j'ai pas envie de me mentir non plus. Je sais pas.

Des projets commencent à fuser par centaines, elles traversent des idées folles, naissantes de pensées obscures que beaucoup considèreraient comme agréables. Impossible, pas d'axiomes, mais toujours un beau bordel, un mélange des plus belles couleurs existantes, ou non existantes, avec d'autres substances paralysantes. On reste éternel spectateur du défilement de nos pensées brutes. Mais impossibles à transcrire, impossible à écrire. Et ça, c'est parce qu'il FAUT penser à autre chose malgré tout.

J'ai foiré mes deux premier partiel. Le premier, j'avais pas grand chose, le second, j'avais beaucoup trop de connaissance. Le seul que je risque de réussir est bien l'anglais. C'est pas une question de poisse, juste que j'ai jamais su rédiger quoi que ce soit de manière correcte, explicite, du moins rien d'académique. Il faudrait qu'un jour je me consacre à des cours de grammaire, d'orthographes, de conjugaison, et je ne sais quoi encore... Mais je souffre de mon manque de maitrise d'une langue telle qu'elle soit. Oui, je me suis toujours dit qu'un jour je serais sur Londres parlant couramment l'Anglais, voir presque parfaitement, parce que j'aurai appris entièrement la langue en vivant là bas. Laissez mes rêves tranquilles...
De toute façon on a vu Pete Doherty boire du jus d'orange, et sobre pendant un concert...

Je reste idéaliste, mais je commence à perdre espoir. Récemment, et je ne comprends toujours pas vraiment pourquoi, mais tous les débats politiques auxquelles je participe tournent autour de l'argent et du pouvoir. ça commence par une remarque sur l'argent, puis ça s'enchaine sur ma remarque quasi inévitable : " Mais l'argent reste une valeur fictive faite autour de matériaux rares, brillants, devenus aujourd'hui données binaires et bout de papier inflammable ( Ahhh Gainsbourg ) En vérité on pourrait tous vivre sans argent..." - Et là, c'est le drame.
" - VIVRE SANS ARGENT ? ET COMMENT TU FERAIS POUR MANGER ? ACHETER UNE MAISON ? VIVRE ? T ES COMPLÈTEMENT BARGE C EST MÊME PAS LA PEINE DE PARLER AVEC TOI!" . Achat... Mais puisque j'ai dis qu'on pourrait vivre sans argent. Suppression de l'argent, hop, il n'est plus question d'achat...

Rien à foutre, je m'écrase, tant pis, je vais parler à ma gratte et mon porte mine. On s'entend bien nous au moins. Personne ne comprend ma véritable ambition : Faire une trilogie sur les zombies! La valeur de l'argent une fois les sociétés tombées, annihilées par l'accumulation de leur propre déchet? On peut citer "Zombi" (1978) de George A. Romero où des survivants se terrent dans un centre commercial , "28 days later" de Danny Boyle où le héros sors d'un coma, visite une ville de Londres effroyablement vide, et ramasse les centaines de livres sterling qu'il trouve à terre pour les foutre dans un vieux sac plastic en compagnie de quelques canettes de soda. Mince, la reconstruction d'une société nouvelle etc... Un film serait trop court, une trilogie parfaite pour les projets que j'ai en tête... A chacun ses ambitions non? Mais y'a pas de soucis, derrière y'a aussi les plus énormes séries Z et séries B jamais réalisées, avec pas mal de potes, le groupe de funk trash psychedelic à renommé internationale, mais aussi les films les plus romantique de ma période d'activité... rien que ça. Béh oui, autant viser très loin, se laisser tirer au canon, et atterrir au plus près de la cible d'origine... Non? Comme vous le sentez... Contredis moi cher commentateur! Ose.

D'ailleurs parlons un peu de cinéma et dispositif. Un sujet récent m'interrogeait sur le fait d'interroger le cinéma dans une œuvre. Pourquoi je me plains de ma maitrise de la langue française ? Parce que tous ont dit que pour faire du cinéma, il fallait savoir écrire correctement ce qu'on aura à l'image. Je propose une autre approche, pas novatrice car très certainement déjà exécutée, similaire à des visions de la mise en scène de réalisateur comme Maurice Pialat par exemple (Je sais qu'il nous a traumatisé sur certains cours de ciné, mais qu'importe! Lisez!).
Prenez un décor naturel, et sa lumière naturelle. Prenons deux acteurs naturels. Prenons une situation naturelle, un truc banal, comme deux personnes commençant à s'aimer (exemple qui trotte pourtant dans ma tête depuis pas mal d'année. Je n'ai même pas d'excuse à présenter, je sors juste de l'adolescence!) Posons la situations aux acteurs : " Bien maintenant, vous vous aimez sans le savoir, ou pas." Ce sont des acteurs, pas de rire, pas de larme, que du jeu, leur jeu. Le plus important sera de substituer le meilleur de celui ci. Oublions les positions de caméra classique, ou plutôt, cherchons juste inspiration, et développons-en des mouvement qui nous sont propre, à nous et à la situation à fermer. Jouons sur le réel, la beauté du geste. Les regards sont à filmer, les lèvres, les mains, les corps, des gros plans, des demi ensemble, captons l'ignorance volontaire des acteurs par rapport à leur jeu. Manipulons de manière non explicite leurs actes et leur pensées. Capturons l'amour en lui même, et non pas un jeu sur l'amour. Capturons l'humain dont ce base le jeu, et non plus le jeu. Débrouillez vous au feeling, sur le terrain au montage, j'ai déjà ma technique en tête. Maintenant ajoutons une dose de lyrisme, ou plutôt dérivons du réel pour entrer peu à peu dans le fantasme. Bande de pervers, un fantasme est tout sauf sexuel! Le simple fait de dire ou d'entendre une certaines phrase peut être jubilatoire, et à partir du moment où elle peut l'être, elle peut aussi être un fantasme. Le fantasme, plaisir inaccessible... Pour le moment. Supposons un baiser... Laissons le être un fantasme frustrant le spectateur... Et merde "coupez...."

C'est pas la peine il est 2H du matin je suis en pyj, je viens de vider toute une bouteille d'eau et je m'intéresse à la filmographie de Kevin Smith depuis tout à l'heure! Laissons tomber,
Tout ça pour dire qu'au cinéma peut importe l'expression écrite dans le fond, l'écriture de l'image, sa capture est à faire sur le moment. Rajoutons les effets de lumières par la suite si nécessaire. Et si seulement c'est nécessaire. Cherchons la beauté d'un film dans la vrai beauté, non forcement esthétique, mais réaliste.

F*ck it! Je suis certainement un incompris et tant pis. RDV à la prochaine scène, au prochain partiel, ou à la revoyure!


lundi 14 janvier 2008

... Ou tu sais pas!...

... parce que c'est assez énorme de réussir à me faire écouter du Lenny Kravitz, je m'incline, tu es vraiment trop forte. Aussi parce que je ne trouve pas les mots pour... décrire... pourquoi je me dois vraiment de te remercier. Même si t'as pas insistée plus que ça pour que je me retrouve avec ton écharpe sur le cou...! Il faisait vraiment froid! C'est décidé je t'en veux! Merci. Merci à toi d'être toi. Merci à toi d'être là. Parce dans le fond, je crois que tu n'es pas la seule à avoir besoin d'évasion...


Enchanté =)!

Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher! Ne me laisse pas tout gacher!

samedi 12 janvier 2008

Whos to blame ?

...Aux couleurs d'un midi d'hiver sous un ciel sans nuage...


Kit à haïr le reste, autant se haïr soit même.




à méditer...

-_-' F*ck it!

mercredi 9 janvier 2008

untitled

C'est après avoir mis 2H pour rentrer chez moi (merci Transpole) et après avoir écouter deux fois la Sonate pour piano n°14 de Beethoven, que je me suis demandé si j'avais pas des choses à dire, où plutot à écrire.
Ah peut être aussi y'a t'il le fait que j'ai une partie de ma fesse droite en photo sur un calendrier de la Jeunesse Communiste ? En tout cas, !ça! c'est vraiment la grande classe !


La faculté d'être en faculté.

La fac, c'est plutôt marrant mine de rien. Okay ça nous fou dans la merde, surtout quand on est en médiation culturelle, mais qu'importe. Tu veux aller en cours, avant ta salle, t'entends un concert dans le coin, alors forcement tu squatte. Ou aussi, tu débarques pour des infos pour tes partiels, et les prof ne te disent rien, où ils ne sont pas là. Mais le semestre est terminé, et ça tu ne le savais pas. Quand commencera le deuxième ? - pas de réponse de ton UFR.
D'autres ont pourtant un deuxième semestre et des cours... Mais en fait on s'en fou...

...Ou plutot je m'en fou. ça faisait deux mois que j'en glandais pas une, que j'allais dire bonjour à la vie, à babord et à tribord, tout prenant la flotte.... Et bien je savais pas qu'un cours de cinéma pouvait autant me remettre d'aplomb. Bon certes, ce n'est pas la seule chose qui le permet, mais pas la peine d'en dire plus.



Juste quelques pensées en vrac.


Les rencontres dans le métro.


Vous étiez assis, là, devant eux, à coté de lui, à coté d'elle, vous aidiez la jeune femme et sa poussette, mais vous ne l'aviez toujours pas vu. Elle. Cette personne venue s'assoir juste à coté de vous. Elle vous obsède, vous facine, elle sort un agenda, vous jettez des coup d'oeil furtifs alors qu'elle tourne délicatement ses pages. Elle ne vous regardera pas dans les yeux. C'est ce que vous vous disiez ? Pourtant elle vient juste de le faire! Et vous, vous venez juste de detourner le regard à l'opposé, comme si les autres personnes du métro vous interessez vraiment. Même en regardant le mec du coin qui se fourre presque les cinq doit dans le nez, vous pensez à la personne à coté de vous que vous n'osez plus regarder.

Le métro n'avançait plus. Vous venez de le remarquer, parce qu'à la fin de la chanson que vous écoutiez à l'instant, lors du fondu, vous n'aviez pas perçu un seul bruit de moteur...

Mince. Transpole fait une annonce. Bloqué pour 10mn. D'accord. Alors vous la regardez. Elle était à votre gauche, elle, la personne que, ce soir la, vous convoitiez peut être. Alors elle se retourne, une fois de plus, vers vos yeux, regard que vous detournez une fois de plus, presque naturellement. Pourquoi essayer de se montrer indifférent? Mais bande de crétin! Vous êtes tous de la même souche! Sur ce genre de sentiment là vous réagissez tous pareil! Ne posez plus de question, laissez vous aller.
C'est justement en posant des questions différente que vous vous laisserez aller. Naturellement vous vous demandez si elle joue elle même l'indifference. Allez savoir...
Vous essayez de faire dans le romantisme, mais vous n'y arrivez pas. Vous n'êtes pas romantique. Oui, c'est moi qui décide, car c'est moi qui l'écrit. VOUS n'êtes pas romantique. Alors vous laissez tomber, en repensant en fait à la personne qui vous fait vraiment tourner la tête... Est ce pareil chez El... non, on arrête ce genre de question.
Retournez chez les moutons : vous êtes tout un troupeau bloqué dans une rame de métro.
Un autre fondu dans vos oreillettes. Deux personnes, d'une trentaine d'année, du même style vestimentaire, compatissantes d'être bloquées et se moquant de Transpole très ouvertement, commencent à se faire la conversation. Ils rigolent bien ensemble... En face de vous, même chose, une grand mère geint, puis s'adresse au type qui se donnait un look intello, et qui n'arrêtait pas de vous fixez, sans que vous en ayez compris la raison....
Et si je me tournais vers elle? Et si j'arrêtrais les manières ordinaire, et si je la fixais du regard, je pourrais peut être tenter un petit sourire courtois... Oui. je la fixe. y'a plus qu'à attendre qu'elle me fixe. Je me prends pour un de ces pauvres héros de films sentimentaux, qui n'a pas demandé à être ce qu'il est, c'est à dire le fantasme d'un raconteur d'histoire. Il s'en prendra plein la gueule par la suite, tout comme moi si je continue à la fixer, mais qu'importe, en fin de compte, toutes ces histoires étaient belles dans le sens où plein de choses sont à ressentir. Même la mort et la tristesse y sont souvent belles. Alors fixe là, fixe là, elle aimera peut être ça... Et toi l'intello tourne toi! Je t'ai déjà griller plus d'une fois entrain de me fixer et je sais que tu le fait encore, laisse moi mon moment de gloire et regarde plutot la vieille à coté de toi s'il te plait, je deteste quand on me fixe comme ça je perds mes moyens.... Et "Elle" se retourne vers vous, vers vos yeux... Aaaah vous, nous, nous n'avons pas compris, mais vous avez détourné le regard... ESPECE D IDIOT! Et naturellement vos yeux vont vers l'intello qui vous fixait du regard! - Non, je ne l'insulterais pas, même pas pour vous.
C'est la particularité de ma narration. Je suis vous. Vous êtes moi. Nous sommes vivant et lachés dans un terrain de jeu similaire, et ce tous les jours.

Transpole vous annonce qu'il faut maintenant quitter la rame.
Vous vous levez... Elle se lève... mais en fait, ils se lèvent tous. Ils montent tous, vous sortez en dernier, elle sort juste après vous... Une autre annonce. Vous vous êtes arrêter, mais certainement après elle. Elle était derrière votre dos ( car devant celui ci, c'est moi!).

Plus tard. Les deux trentenaires sont maintenant amis. Ils rigolent bien ensemble. Vous attendez tous le bus relais censé vous amenez 2 arrêts plus loin.
Elle est toujours là, dans le vous, et vous sentez son regard vous suivre... mais quand vous vous tournez vers elle, elle détourne immédiatement. vous vous êtes regardez peut être une seconde au plus, yeux dans les yeux, à 30 mètre l'un de l'autre.
Tiens un fleuriste. J'aime les fleurs, et j'ai jamais compris pourquoi on avait jamais mis de "E" après le R de fleur, mais qu'il y'en avait un à Fleure, parce que c'est très jolie à écrire. De même, j'adore les roses, j'aime les offrir, et justement là, une rose à 1,50€ sous mes yeux...
Et si j'en prenais une, que j'arrivais sur elle, et que je lui sortais : Tenez, c'est pour vous. Acceptez le, c'est un gage de votre élegance. Si vous n'en voulez pas, je ne comprend pas pourquoi vous vous faites si jolie, même si votre élegance est sous sa forme la plus naturelle... mais je ne suis pas là pour parler... enfin si... mais ça me gène, j'aurai bien voulu vous abordez comme il se doit, mais j'avais aucune idée de comment.... STOP.
Vous, lecteur, vous commencez à penser trop fort. Je commence à penser un peu trop fort. Impossible de faire une telle chose dans le monde actuelle. Surtout pas à une inconnue. De toute manière, j'en avais pas envie, je l'ai juste envisagé, ce qui est totalement différent. J'ai toujours eu envie de le faire, certes, mais la/les personne(s) à qui je le ferai ( je risque de ne pas recommencer après l'avoir fait une fois, car j'aurai eu une putain de leçon je crois), aura(aurtont), un véritable traitement de faveur, et j'espère qu'elle le mériterons. Oui, vous pouvez ne pas être mérité par quelqu'un, et ce dans le mauvais sens. Mais restons optimistes. Arrêtons de parler d'amour si niais pour beaucoup.

Vous êtes maintenant dans la navette relais. Vous êtes debout. elle est venu s'installer sur un siège juste à coté de vous, alors que votre bus est carrement le bus le plus large dans lequel vous êtes déjà monté. Seulement d'autres personnes montent. Et vous la perdez de vue. Pour TOUJOURS. Qu'importe. Des choses de la sorte, vous en vivez toutes les semaines...



Les classes préparatoires.


Oui. Parce qu'en ce moment y'a pas mal de clampins qui retournent dans leur ancien lycée juste pour des élèvEs de classes préparatoires... Mais en fait je sais pas trop quoi en dire dessus. La premier couple de mots qui me vient est " acte délibéré". Ne pas chercher à comprendre.

Revisons nos partiels. C'est mieux.

The Big Red Button

Pour vous bande de Geek !



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lundi 7 janvier 2008

L'homme sans histoire


L'homme sans histoire
envoyé par CrazyNorse


Ne cherchez pas à comprendre pourquoi on trippe dessus....
(Musique de Nil Nozma)

dimanche 6 janvier 2008

Braque.


Mad1
envoyé par CrazyNorse


(Quand on a plus d'inspiration on se lache comme on le peut...)

Afflux d’apophtegme opulent

Shunt de dégaine intelligible

Soupçon spéculatif à alternance anthropophage

Émanations douloureuses de remugle irrévérencieux

Illusions triturées, contribuant à l’aspiration germante

Intégralement chiffrée de boutade fictive

Uniquement vers les liseurs tancés

Je ne réprime pas mon propre galimatias

Mais je l’admets divinement.



Pour railler le distingué

Bedonner le délassement

Fignoler ma virtuosité

Chauler mes incongruités

Et ce, de mon propre chef

Barbouiller ma labeur

De fanfare pragmatique

Amonceler les allures

Puis se complaire pour la veillée.


Et si vous ne l’estimez pas

Aboutissez à votre propre dardement !

vendredi 4 janvier 2008

Artistes locaux

Suite à une soirée bien sympatique hier, je fais un peu de pub pour les artiste vu aux Yeti, mais d'autres aussi. (Earl est en moi comme dirait l'autre! Karma! You're gotta love it!)

Je met juste les photos et myspaces, je commenterais plus tard, j'ai peu de temps. Allez faire un tour et voyez par vous même.














Ben'o Folk (mon influance ^^!)





Mais surtout là où ils se sont déjà tous produit!


Caf&diskaire
Concert gratuit tous les samedi vers 18H
(haha la pub!)

jeudi 3 janvier 2008

Pensées brutes.


Révisions ? Alors... Allons-y Allonzo...


Pour le WE :


Mouchette
(Bresson); Allemagne année zéro ( Rossellini), Bande à part (Godart), Belle de jour (Bunuel), Monika (Bergman), Les vacances de monsieur Hulot ( Tati), Playtime ( Tati), Mon oncle (Tati), Je vous salue Marie ( Godard), Rome ville ouverte ( Rosselini), Blow-up (Antonioni), Persona ( Bergman), Pickpocket ( Bresson), Un condamné a mort s'est echappé ( Bresson), The lady from Shanghaï ( Welles), Un chien andalou (Bunuel), Le mépris (Godard), A bout de souffle (Godart), Pierrot le fou ( Godard), Les oiseaux (Hitchcock), Vertigo ( Hitchcock), La mort aux trousses (Hitchcock), Alien Vs Predator Requiem (Strause), Alvin et les Chimpmunks (Hill), Hitman ( Gens) ...
Euh ouai...


2008 confusions.

C'était comment 2008 en 1978 ?
-Mieux.




Tout allait pour le mieux le 31 décembre. à 23h je me défonçais les tympan avec ma sono, je dansais comme un tarré. Le premier à 00h00 j'étais bourré, je reprennais quelques bières, à quoi bon se calmer, j'avais eu que 8H de sommeil cumulée lors des 3 dernière nuits..... à 1h00 j'ai racroché mon téléphone. 1h03mn, je rentre dans la maison... puis 3seconde après j'ai une putain de sensation de bien être... Qu'est ce que j'ai bien dormi... Rah puis quelle rêve merveilleux... Rah et j'suis sur un matelas c'est tout mou c'est tout confortable, jsuis bien... et la lumière du jour qui.. euh ? La Lumière du jour ??? Y'a 20s il fsait nuit et j'allais boire le Whisky Citron qu'on m'avait proposé... ah merde... okay... Qu'est ce qu'il s'est passé ? Mais qui sont ces gens autour de moi putain ? ils sont mort... Quelle heure il est ? - 8h30... merde... C'est à qui se duvé ? Bon je sors de la pièce, je vais bien voir... - Guillaume tu m'as roulé des pelles ; - Guillaume t'as dormi avec ta guitare; - Guillaume t'as fais la serpillère... J'arrête là. Jme souviens de rien, et j'ai peur de moi. Un mec bourré qui roule des pelle à tout le monde, ac l'halene et le fait qu'il tienne pas debout, ça me fait vraiment peur...

Message : (tel que je l'ai reçu) " (...) dormi avec toi jusque 6h30!" ... okay... O_o...
Heureusement qu'il restait de la vodka, sinon j'allais faire la gueule tout le matin en me questionnant trop.
Stop.


Putain de nouvel an à la con... >_<' j'ai la rage. J'avais besoin de me lacher mais pas à se point là. Retour à la maison, complètement torché, mort, impossible de penser, de bouger. N'oubliez pas que ces articles sont égoïstes. Je ne parle pas de tout le monde, des gens que je devrais ici citer, mais lisez moi : Je ne vous oublies pas!

2008... j'ai écouté the 19th Nervous Breakdown. Je crois bien que le mois de janvier sera pétage de cable. J'ai bien démarré pour, et continué dans cette voix. ça fait deux jours de suite que jsuis torché, que je ne sais pas quoi penser. J'ai des examens dans une semaine et demi et je n'ai encore rien préparé. Je ne suis pas démotivé, juste que j'essaie de pas y penser, mais je devrais, je sais. Paragraphe de culpabilité : Je sais, tout est ma faute, je suis une chose, une odeur, pas vraiment bonne, un adjectif minablement écrit, et lu sans son nom. Je ne dirais pas lequel, je ne suis pas sûr de le savoir. Je vagabonde dans les styles et les genres, je n'ai pas encore trouver de place. tout est à remettre en question.

Questions
Questions
Questions :

Qui suis je ?
Où suis je ?
Pourquoi suis je, et ici et pas là ?
Pourquoi ces questions à la con, trop basiques, qui ne veulent rien dire et qui sont juste là pour me distraire moi même et dériver sur une autre question ?
Pourquoi j'ai besoin de me rabaisser ?
Pourquoi je dois continuer dans cette voie ?
Pourquoi le pourquoi est certainement la questions la plus importante à se poser sur n'importe quel sujet ?
Pourquoi je passerai pas à d'autres questions ?
Est-ce que j'ai vraiment envie d'y mettre du miens ? - bien sûr que oui!
Est ce qu'il est bon de commencer à ranger les piles de vetements qui trainent sur ton fauteuil de main? - je crois que oui...
Pourquoi je suis si fatigué de rien foutre....?
Et les questions se transforment en affirmation, puis en liste.
Tu devrais vraiment t'alarmer.
Tu devrais vraiment arrêter de freiner en montée.
Tu devrais vraiment essayer d'en parler.
Tu n'es qu'un lache.
Tu n'es qu'un egoiste quand tu parles, Mais tu es excusable, avoir des conversation avec quelqun d'autre que toi te manque.
Tu devrais comprendre que t'es aussi fou que tu l'es, et que c'est bon de le sortir même si on te regarde bizarement.
Tu devrais comprendre que les lecteurs de ce blogs, interessés, ou moqueurs, ou glandeurs, en on rien a foutre de savoir comment tu vas.
Mais ça tombe bien parce que c'est pas vraiment ça que tu raconte ici , mais plutot un suivi de mode de reflexion moyennement débile, pour comprendre un état d'esprit hanteur.
Dormir un peu te ferai du bien.
Dire les choses franchement sans réfléchir, même les choses à ne pas dire, te ferai vraiment du bien pour le moment.
Mets toi à tes projets.
Apprends à lire!!!
Apprends à aimer!!!
Apprends toi!!!
Improvise!!!
N'apprends rien!

Y'a toujours de la contradiction partout. et écrire un article aux alentours de 4H du matin n'est jamais vraiment bon. La qualité des articles s'en ressentent, mais prenons un peu de temps pour y réfléchir. Qu'est ce que je veux vraiment exprimer ici ? Si j'écris un artcile à 4H du matin, et que celui ci ne veux rien dire, c'est que je dois être quelque peu confus. La confusion. Je me suis appris confus par moi même. Je suis troublé. Je suis... je suis... je suis fatigué...

2008 dans mes pensées n'est pas grand chose. Nous en sommes tous à une années en plus, et l'essentiel est de profiter de tout ce qu'il se passera. Surtout pour ceux qui sont avant leur 20ème année. Y'a des peur de ne pas avoir de temps. Ne pas avoir le temps de tout faire. La peur de ne pas avoir le temps d'avoir des surprises. La peur d'un climat constant. Depuis novembre, tout est si bizare. D'ailleurs c'est bizarre de faire toujours autnat de fautes d'orthographes et d'enlevé un r à bizarre.

Je vous envies.
Je vous envies.
Je me desteste. 2008 et moi on s'entend pas très bien pour le moment. Ironie? pas vraiment. Second degrès ? Comme toujours. Confustion totale.
Help me.
Save me.
Program Ending.
Si je pense maintenant à tous ces futurs voyages, à réaliser des rêves et des fantastmes, je risque de tomber de très haut... vraiment très haut...

Well, it seems to me that you have seen too much in too few years.
And though youve tried you just cant hide Your eyes are edged with tears.

You better stop
Look around
Here it comes, here it comes, here it comes, here it comes
Here comes your nine-teenth nervous breakdown.

Oh, whos to blame, that girls just insane.
Well nothing I do dont seem to work,
It only seems to make matters worse.
oh please.

Allez y! Comprenez moi ou pas! L'inspiration est toujours non inspriée.
J'ai absolument besoin d'une muse, mais j'en ai pas vraiment trouvé. Par contre des anti-muse pour le moment y'a que ça. Oui. L'anti-muse. C'est simple, c'est ce qui nous fait carement l'effet contraire d'une muse. On se pose des questions mais impossible d'écrire dessus car on bloque carement, on finit par secher, et essayer de se distraire pour voir si on pense pas à ces choses là autrement, ou carement à autre chose.
Bref, s'il vous plait. Je recherche une muse. une vrai. J'ai pas parler de femme, mais d'une muse. Si vous ne comprenez pas ce que je veux dire, aller chercher sur wikipedia ou réouvrez vos gros dictionnaires.
Et si vous trouvez ça vraiment niais, bien allez vous faire foutre =)!


RESOLUTION : ARRETER TOUT DE MEME D ECRIRE DES ARTICLES A 4H DU MATIN, ET EVITER LA REDONDANCE.


Le mot confus de la fin n'est même plus un mot, mais une idée à travers une image :